Maintenant que le grand enthousiasme lié à la reformation de Channel Zero est retombé, on y voit un peu plus clair et on peut être un peu plus critique. Je n'étais évidemment pas à Werchter (moi pas mettre les pieds la bas, ou alors armé), et il est clair que Black Flowers est moins taillé pour la scène, n'empêche que je trouve la prestation un peu faiblarde sur cette vidéo. Et puis, y a rien à faire Meneer De Smet Van Damme, si tu veux faire groupe international comme métier, tu baragouines pas dans ta langue de barbares que personne ne comprend entre les morceaux hein...
samedi 17 juillet 2010
Iron Maiden : "The Final Frontier"
Bon, je sais qu'on n'a pas le droit de dire du mal d'Iron Maiden tout ça... N'empêche, déjà que j'avais fermé ma gueule sur la pochette de merde de leur nouvel album, je vais pas me retenir sur le clip. Qu'est-ce que c'est que cette daube ? Qui conseille ces mecs ? Non parce que sans déconner franchement... Alors certes, les fans imbibés vont trouver ça trop géééééééééééééniaaaaaaaaaaaaaaaaaaal avec des effets spéciaux et tsa, n'empêche que non seulement y sont pourris les effets spéciaux, mais en plus ça n'ôte rien à la vacuité du propos, sans même aborder l'épineux problème de la chanson, qui est juste à chier. Bref, je suis pas près de devenir fan de Maiden moi...
The Final Frontier - Director's Cut
Iron Maiden | MySpace Music Videos
The Final Frontier - Director's Cut
Iron Maiden | MySpace Music Videos
Le groupe que tu connais pas de la semaine : Kayser
Kayser est un excellent groupe de thrash qui a trouvé le parfait équilibre entre puissance imparable et sens de la mélodie qui tue. Sorte de Hatesphere au chant mélodique, le groupe est suédois et étonne aussi par un groove tout droit hérité du stoner made in 70's. Il faut dire que le chanteur du groupe est aussi le chanteur de Spiritual Beggars, groupe vouant un culte sans nom au Black Sabbath de la belle époque. Mais ça reste avant tout du thrash, ultra efficace, rapide, racé, très bien composé et encore mieux joué, bref une belle réussite sur les deux albums du groupe, sortis en 2005 (kaiserhof) et 2006 (Frame The World, Hang It On The Wall).
MySpace
MySpace
Orgasme auditif : Nechochwen
Aaaah le pagan metal, toute une poésie. Mais ici mes chers petits camarades, on ne parle pas de n'importe quel pagan metal, mais rien de moins que la tendance amérindienne ! Nechochwen est donc un groupe un peu atypique (?) qui a pondu cette année un album intitulé Azimuths To The Otherworld et qui vaut le détour.
L'orgasme en queston survient à 5:04, avec un petit break tellement inexorable qu'il en devient presque crowbarien... celui qui intervient aux alentours de 2:48 n'est qu'une mise en bouche. On croirait qu'un shaman a invoqué les esprits de la terre et que des golems cyclopéens déferlent sur les plaines...
D'avance mes excuses pour la piètre qualité de cet extrait, mais ce site russe est tout ce que j'ai pu trouver comme référence. Mais sans déconner, pliiize persévérez et vous en serez récompensés...
/V\
L'orgasme en queston survient à 5:04, avec un petit break tellement inexorable qu'il en devient presque crowbarien... celui qui intervient aux alentours de 2:48 n'est qu'une mise en bouche. On croirait qu'un shaman a invoqué les esprits de la terre et que des golems cyclopéens déferlent sur les plaines...
D'avance mes excuses pour la piètre qualité de cet extrait, mais ce site russe est tout ce que j'ai pu trouver comme référence. Mais sans déconner, pliiize persévérez et vous en serez récompensés...
/V\
vendredi 16 juillet 2010
Crooner Death Metal !!!
Ce n'est un secret pour personne, j'adore la musique américaine des années 50 et 60, country et rockab en tête, mais aussi des trucs plus mielleux comme, Frank Sinatra, Dean Martin ou Paul Anka. On peut pas écouter Impaled Nazarene tous les jours non plus... Mais ce que je préfère, c'est quand ces genres antinomiques se croisent, au hasard des facéties de mecs qui ont du talent, du temps à perdre, et un compte YouTube. C'est le cas d'Andy Refheldt, dont on a déjà parlé dans ces pages, notamment pour ses revisitages de Lamb Of God façon smooth jazz...
Cette fois-ci, il s'est attelé à adapter un morceau de Conway Twitty, un chanteur pas très connu de country mielleuse, en death metal, pour un résultat impressionnant qui sonne un peu comme du funeral doom, voire du Bolt Thrower.
Je me suis demandé s'il n'avait pas traficoté un peu l'image, parce que Conway a des mouvements de visage un peu bizarres, vous trouvez pas ? Ben non en fait, en regardant la vidéo originale, on voit bien qu'il a juste des muscles faciaux qui se synchronisent pas comme chez tout le monde...
Cette fois-ci, il s'est attelé à adapter un morceau de Conway Twitty, un chanteur pas très connu de country mielleuse, en death metal, pour un résultat impressionnant qui sonne un peu comme du funeral doom, voire du Bolt Thrower.
Je me suis demandé s'il n'avait pas traficoté un peu l'image, parce que Conway a des mouvements de visage un peu bizarres, vous trouvez pas ? Ben non en fait, en regardant la vidéo originale, on voit bien qu'il a juste des muscles faciaux qui se synchronisent pas comme chez tout le monde...
Ozzy Osbourne : "Scream"
Il aura fallu qu'Ozzy vire Zakk Wylde de manière on ne peut plus cavalière pour que je me rende compte que le crédit que je lui accordais tenait à 50 % dans le culte que je voue à son ancien guitariste, à 45 % dans la légende qu'Ozzy représente, ne laissant qu'un vague 5% d'appréciation véritable de sa musique. Du coup, il était intouchable, et je n'aurais jamais pu dire de mal d'un de ses albums. Maintenant, la donne a changé. ça a commencé avec le licenciement de Zakk, mais le reste s'est effondré comme un château de cartes à vitesse grand V. J'ai enfin l'impression de voir Ozzy pour ce qu'il était, à savoir un mélange improbable de la bonhomie stupide d'Otto et du manque total d'humanité à la faveur du profit de Monsieur Burns. Prendre sa défense en disant que tout ça c'est la faute à Sharon tout ça, ça ne prend plus.
Ozzy avait vachement intérêt à nous servir le meilleur album de toute sa putain de carrière s'il voulait vraiment regagner des miettes de crédibilité à mes yeux. Est-ce que le pari est gagné ? Difficile à dire. Ce qui est sûr, c'est que Scream est un bon album. Certainement le meilleur qu'Ozzy ait sorti depuis bien longtemps, peut être depuis No More Tears. Le single, Let Me Hear You Scream, est un exemple parfait de l'efficacité des chansons. A la fois commerciale et catchy tout en restant heavy à souhait et virtuose dans ses arrangements. Le reste est à l'avenant, et c'est bien là le problème. Si les compos sont pour la plupart impressionnantes dans leur diversité et leurs qualités intrinsèques, l'ensemble est souvent noyé dans une production grandiloquente, pleine d'effets superflus qui empêchent de véritablement profiter des chansons. Pourtant, je n'ai rien contre le principe hein, regardez Chinese Democracy et sa production à 18425121 couches... Sauf que là où Axl Rose utilise à merveille une surenchère d'effets pour appuyer le côté ultra épique de compos souvent longues, ici, ces effets sont souvent artificiels et vains, gréffés de manière artificielle sur des morceaux on ne peut plus carrés. Je pense que dans le jargon, on appelle ça un album de producteur, et c'est vraiment l'impression que ça donne. C'est dommage, parce que s'il avait été un peu plus "brut de décoffrage", c'est un album que j'aurais sans douté adoré d'entrée de jeu. Là, j'ai du mal à entrer dedans, même si je dois bien reconnaître malgré tout que plus je l'écoute, mieux il passe...
Headbang Roulette
Bon, c'est les vacances, donc on a du temps à perdre. Pourquoi ne pas le perdre en regardant des mecs headbanguer ? Headbangroulette fonctionne sur le même principe que Chatroulette, sauf qu'au lieu de montrer des types en train de se palucher, on y voit des vidéos aléatoires de types qui se décrochent les cervicales. Bonnes vacances...
jeudi 15 juillet 2010
Y sont trop forts Stone Sour !
Quand on peut se permettre de sortir un morceau dont l'intro fait penser à de la pop 80's (le premier truc qui m'est venu à l'esprit, c'est Chris Isaak, et le deuxième, The Cure !!), avant de virer à la balade limite pop rock et en tout cas bien rock FM, et quand même faire en sorte que le morceau soit une tuerie, du genre que quand ça se termine, tu le réécoutes, et encore, et encore, et encore, et encore pour être sûr, c'est qu'on est fort. Je crois qu'avec Say You'll Haunt Me, Stone Sour tient un méga tube en puissance, c'est excellent !
Korn dans un champ de maïs...
J'ai eu le malheur de voir deux fois Korn en concert. La première fois, j'étais fort déçu, parce que c'était il y a dix ans et qu'à l'époque, j'accordais encore le bénéfice du doute au groupe qui commençait tout juste à me fatiguer un petit peu et dont le dernier album, à l'époque, était Issues, qui n'était certes pas terrible, mais pas une bouse infâme non plus. Sauf que sur scène, c'était nul, y se passait que dalle, j'avais l'impression d'écouter une compile et de me faire chier. La deuxième fois, c'était différent. On ne peut pas dire que j'ai été déçu, puisque c'était l'année dernière au Sonisphere, et que Korn était donc devenu depuis belle lurette un groupe de has been tout pourris composés de quadragénaires bedonnants s'adressant à une bande d'ado trop attardés pour comprendre que Korn c'est de la merde... Et je n'ai pas été déçu, le concert ayant été, au mieux, insignifiant.
Depuis, ils annoncent un retour aux sources avec leur nouvel album, et je dois bien reconnaître que leur prestation live chez Jimmy Kimmel il y a quelques jours était bien mieux que tout ce que j'ai vu d'eux en vrai. ça a suffi à soulever un sourcil d'intérêt suffisant pour que je sois curieux d'écouter leur nouvelle purge, et ils marquent encore un point avec ce concert un peu particulier, puisqu'il a été enregistré sans public certes, mais au milieu d'un champ crop circlisé à leur effigie, avec donc une jolie mise en scène. Je n'ai pas encore tout regardé (1h20 de Korn, j'ai largement passé l'âge), mais la prestation m'a l'air à tout le moins honnête.
KORN LIVE: THE ENCOUNTER
Korn | MySpace Music Videos
Depuis, ils annoncent un retour aux sources avec leur nouvel album, et je dois bien reconnaître que leur prestation live chez Jimmy Kimmel il y a quelques jours était bien mieux que tout ce que j'ai vu d'eux en vrai. ça a suffi à soulever un sourcil d'intérêt suffisant pour que je sois curieux d'écouter leur nouvelle purge, et ils marquent encore un point avec ce concert un peu particulier, puisqu'il a été enregistré sans public certes, mais au milieu d'un champ crop circlisé à leur effigie, avec donc une jolie mise en scène. Je n'ai pas encore tout regardé (1h20 de Korn, j'ai largement passé l'âge), mais la prestation m'a l'air à tout le moins honnête.
KORN LIVE: THE ENCOUNTER
Korn | MySpace Music Videos
Gratos : Wheelfall - "From The Blazing Sky At Dusk" EP
J'ai tendance à être plus indulgent avec les albums gratuits, ce qui devient donc un autre avantage du système, parce qu'il est clair que je n'aurais pas pris la peine d'écouter en entier l'EP de Wheelfall en entier dans le cas contraire. Pas que ce soit mal fait, au contraire, mais le desert rock couillu que le groupe Nancéen pratique n'est pas des plus originaux. Cela dit, en faisant l'effort, les 8 titres de l'EP ne passent finalement pas trop mal, si on passe outre la voix sous mixée et pas très variée...
MySpace
MySpace
mercredi 14 juillet 2010
The Big Three !
Les américains n'auront vraisembablement pas droit à une tournée des Big Four comme nous autres européens. Par contre, ils auront un American Carnage Tour qui devait voir l'affiche partagée entre Slayer et Megadeth, sauf que Anthrax vient de s'y greffer ! S'ils embarquent Alice In Chains avec eux, ce sera pile poil la même affiche que le mythique Clash Of The Titans de 1991... Si on ajoute à ça le fait que Slayer va jouer Seasons In The Abyss dans son intégralité sur cette tournée, on peut commencer à être (un peu) jaloux. Mais si ils font des trucs comme la vidéo ci dessous sur scène, là ça y est, je râle !!
Danzig : "Deth Red Sabaoth"
Danzig doit plus à son statut d'icône de la scène métal qu'à sa discographie solo. Sa voix chaude et unique en son genre a inspiré une armée d'aspirants chanteurs gothiques, mais sa boucle de ceinture est plus populaire que ses chansons. Parce que certes, si les albums qu'il a sortis avec les Misfits comportent leur lot de classiques (merci Metallica), qui d'entre vous pourrait me citer deux titres de ses chansons en solo sans citer Mother ? Ben moi, je pourrais en fait. Je connais assez bien la discographie du bonhomme, et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est assez inégal, et que ça oscille en permanence entre le plus pur génie (Godless, Twist Of Cain, Am I Demon, la reprise du Trouble d'Elvis et oui, bien sûr, Mother, pour ne citer que mes préférés) et médiocrité flirtant parfois avec le ridicule le plus abouti (l'album Blackacidevil est une bouse). C'est qu'on se demande souvent s'il a de la lumière à tous les étages, le Glenn. Autant il peut écrire des morceaux époustouflants pour des légendes comme Johnny Cash (13), autant il peut se ridiculiser en se faisant casser la gueule backstage par un type qu'il avait provoqué de manière on ne peut plus gratuite.
L'album est un peu à cette image. On ne peut nier qu'il a une voix exceptionnelle doublée d'un talent certain pour l'écriture, mais les compos, et surtout la qualité de la production, sont souvent dignes d'un groupe d'amateurs qui enregistrent dans leur cave avant d'avoir terminé les morceaux. ça se veut un retour aux sources bluesy doomesques des débuts, et il y a plein de bonnes idées, mais ça manque de cohérence, ça sent l'inachevé, et ça tourne trop souvent en rond. Et puis, il y a des chansons comme On A Wicked Night, ballade bluesy poisseuse et ultra sombre, qu'on jurerait sortie des pires cauchemars de Nick Cave, et qui frise carrément le génie.
Un album à l'image de son créateur donc, instable, plein de potentiel, mais mal exploité et pas canalisé. Il aurait fallu un vrai producteur à cet album, un type de la trempe de Rick Rubin, et on aurait eu un chef d'oeuvre. Là, on a un album pas déplaisant, mais trop maladroit pour sortir du lot.
King Of Satanic Pop
J'aurais pu mettre Satan dans la rubrique des groupes que tu connais pas, mais je dois bien avouer que je connais pas non plus. Auteurs d'un Suspended Sentence en 1987, ils pratiquent un thrash mélodique fort répandu à l'époque, mais pas déplaisant du tout, au contraire. Mais là où ça devient rigolo, c'est quand on s'attarde au line up du groupe, puisque le chanteur n'est autre que... Michael Jackson !! Remarque, il avait trouvé un bon moyen d'arrondir ses fins de mois, son groupe de thrash satanique ne lui rapportant que des miettes...
mardi 13 juillet 2010
Stéphanie... dans Secret Story !
Décidément, notre principauté à nous est devenue en peu de temps fournisseur officiel en Stéphanie de ces saloperies de TFunades... Après Stéphanie à La Nouvelle Star, voici une autre Stéphanie dans Secret Story.
Où est l'intérêt me direz-vous? Absolument nulle part, je vous rassure. Je conchie cette abominable bouse par tous les pores, promis juré je ne regarde pas ça. Sauf que... la brave Stéphanie n'est rien de moins qu'une... ancienne élève à moi! Hé oui, voilà son secret à la belle : son ancien prof de français écoutait Sublime Cadaveric Decomposition, parlait de Stendhal autant que d'histoire du metal, avait une boîte de craies Metallica, et lui donnait à lire de la SF post-apocalyptique. Rien que ça.
Alors, salutations à la miss (très gentille et futée dans le civil) et bonne chance à elle parmi cette horde de sous-êtres... Go Steph!
Où est l'intérêt me direz-vous? Absolument nulle part, je vous rassure. Je conchie cette abominable bouse par tous les pores, promis juré je ne regarde pas ça. Sauf que... la brave Stéphanie n'est rien de moins qu'une... ancienne élève à moi! Hé oui, voilà son secret à la belle : son ancien prof de français écoutait Sublime Cadaveric Decomposition, parlait de Stendhal autant que d'histoire du metal, avait une boîte de craies Metallica, et lui donnait à lire de la SF post-apocalyptique. Rien que ça.
Alors, salutations à la miss (très gentille et futée dans le civil) et bonne chance à elle parmi cette horde de sous-êtres... Go Steph!
La DB de la mort qui tue mortellement
Envie de faire vos propres stats ou de consulter une base de données complète sur votre style musical favori ? Des grands malades qui bronzent devant leur écran de PC ont réalisé l'ultime compilation, et quand je dis ultime, c'est un PUTAIN DE MASTODONTE appelé "The Discordance", accessible ici :
C'est bien évidemment aux excellents auteurs de Metal-Archives ("Encyclopedia Metallum") qu'on doit ce monstre numérique... un beau joujou qui m'a déjà titillé en ce qui concerne cet album de 2005, qui s'est ramassé la note maximale de 100 de la part de 10 reviewers différents. Je vais jeter une oreille en guise de test, tiens...
/V\
C'est bien évidemment aux excellents auteurs de Metal-Archives ("Encyclopedia Metallum") qu'on doit ce monstre numérique... un beau joujou qui m'a déjà titillé en ce qui concerne cet album de 2005, qui s'est ramassé la note maximale de 100 de la part de 10 reviewers différents. Je vais jeter une oreille en guise de test, tiens...
/V\
Dagoba - Poseïdon. C'est pour bientôt...
Dagoba, pour ceux qui l'ignoreraient encore, est une bande de pourvoyeurs de metal extrême originaire de Marseilleuh. Ouais, putaing! Et pas des rigolos hein! Ça dépote sévère entre l'une des sections rythmiques les plus rapides, violentes et précises qui soient et plein de trouvailles mélodiques et épiques qui rendent l'ensemble franchement indispensable.
Petit bémol : Face The Colossus, leur troisième album, bourré de bonnes idées mais à la limite de l'inécoutable à cause d'une prod catastrophique empilant les couches mais oubliant de les mixer.
Cessons de tourner autour du pit : Dagoba est de retour. Fin août verra l'arrivée (ou l'émergence ?) de Poseïdon, dont on se mate le très simple mais atrocement efficace trailer ci-bas.
Un virage du Vélodrome, la distorsion en plus...
Petit bémol : Face The Colossus, leur troisième album, bourré de bonnes idées mais à la limite de l'inécoutable à cause d'une prod catastrophique empilant les couches mais oubliant de les mixer.
Cessons de tourner autour du pit : Dagoba est de retour. Fin août verra l'arrivée (ou l'émergence ?) de Poseïdon, dont on se mate le très simple mais atrocement efficace trailer ci-bas.
Un virage du Vélodrome, la distorsion en plus...
La méthode d'allumage de bbq qui enterre toutes les méthodes d'allumage de bbq !
Si y a bien une activité qui est à la fois masculine, plaisante et métal, c'est les barbecues estivaux !! Non seulement parce que c'est l'occasion de boire plein de bière, mais aussi parce qu'on a le droit de jouer avec du feu et de manger de la viande. Or, feu + viande + bière = METAL !!!
Dans le rituel, l'allumage du feu a bien sûr une importance capitale ! C'est en général un honneur qui revient à l'hôte masculin du barbecue, et chacun y va de sa technique. On a le scout qui tient absolument à n'utiliser que du bois (qu'il a été couper lui même dans la forêt) et des allumettes humides, ou le chantre de l'efficacité qui noie son charbon de bois "spécial restaurant" dans des litres d'essence à Zippo avant de jeter son briquet dedans à distance, histoire de pas avoir les sourcils roussis.
C'est mon pote Oli qui est venu révolutionner cette bilatéralité immuable en m'expliquant une technique d'allumage de barbecue simple, rapide, et super efficace. Je l'ai testée samedi dernier en famille, et le succès fut total.
En plus, elle ne nécessite que peu de matériel, il faut du papier journal, du charbon de bois, du feu, et une bouteille de pinard. Mode d'emploi :
1. Confectionnez de longues tresses de papier en roulant le papier journal sur lui même. Nouez 5 ou 6 de ces tresses autour de la bouteille, afin d'obtenir un cylindre grossier de papier journal.
2. Placez la bouteille au centre du barbecue.
3. Versez le charbon de bois autour de la bouteille de manière à former un volcan.
4. Retirez soigneusement la bouteille en maintenant le papier en place.
5. Jetez un bout de papier enflammé dans le cratère.
6. Allez prendre l'apéro, revenez après 20 minutes, c'est prêt !
ça a l'air un peu foufou comme ça, mais ça marche super bien. Pas besoin de surveiller, pas besoin de souffler, pas besoin de petit bois, juste un peu de bricolage et hop ! on a des braises parfaites... Vous m'en direz des nouvelles...
Dans le rituel, l'allumage du feu a bien sûr une importance capitale ! C'est en général un honneur qui revient à l'hôte masculin du barbecue, et chacun y va de sa technique. On a le scout qui tient absolument à n'utiliser que du bois (qu'il a été couper lui même dans la forêt) et des allumettes humides, ou le chantre de l'efficacité qui noie son charbon de bois "spécial restaurant" dans des litres d'essence à Zippo avant de jeter son briquet dedans à distance, histoire de pas avoir les sourcils roussis.
C'est mon pote Oli qui est venu révolutionner cette bilatéralité immuable en m'expliquant une technique d'allumage de barbecue simple, rapide, et super efficace. Je l'ai testée samedi dernier en famille, et le succès fut total.
En plus, elle ne nécessite que peu de matériel, il faut du papier journal, du charbon de bois, du feu, et une bouteille de pinard. Mode d'emploi :
1. Confectionnez de longues tresses de papier en roulant le papier journal sur lui même. Nouez 5 ou 6 de ces tresses autour de la bouteille, afin d'obtenir un cylindre grossier de papier journal.
2. Placez la bouteille au centre du barbecue.
3. Versez le charbon de bois autour de la bouteille de manière à former un volcan.
4. Retirez soigneusement la bouteille en maintenant le papier en place.
5. Jetez un bout de papier enflammé dans le cratère.
6. Allez prendre l'apéro, revenez après 20 minutes, c'est prêt !
ça a l'air un peu foufou comme ça, mais ça marche super bien. Pas besoin de surveiller, pas besoin de souffler, pas besoin de petit bois, juste un peu de bricolage et hop ! on a des braises parfaites... Vous m'en direz des nouvelles...
Mort de trouille !
Vous avez déjà vu un type se chier dessus ? Si la réponse est oui, euuuuuuh... Pour les autres, la 2ème meilleure caméra cachée de l'année (la première étant celle de François L'Embrouille en tatoueur) :
lundi 12 juillet 2010
Slash @ Rockhal (LU), 05/01/2010
Cette année, j'ai été surpris par l'album de Slash. Normalement, j'aurais du détester cette vaine tentative égocentrique de se faire du pognon sur sa réputation de guitar hero en invitant des chanteurs à la crédibilité plus que douteuse (Fergie, la puuute de Pussycat Dolls, Chris Cornell, le blaireau de Maroon FUCKING 5 !!!!) à s'époumonner sur des compos qui n'atteignent jamais le niveau de ce qu'il a pu faire au sein des Guns. Et puis au final, l'album tient la route, grâce à des chanteurs un peu plus crédibles (genre Lemmy ou Iggy Pop), et des compos efficaces, certes dans l'ensemble assez commerciales, mais qui restent dans la tête. Et puis, Myles Kennedy a été une véritable découverte pour moi. Chanteur d'Alter Bridge, ce type s'est vraiment révélé avec Slash, non seulement sur les deux chansons qu'il chante sur l'album, mais surtout sur scène avec le guitariste, où il fait preuve d'une aisance impressionnante sur le répertoire des Guns. J'étais donc impatient de voir ça sur scène en vrai, puisque je n'ai jamais eu l'occasion de voir les vrais Guns à l'époque.
Plus dure fût la chute...
Dès le début du concert, j'ai commencé à flairer l'oignon. Je pensais sincèrement que le concert allait se composer des deux morceaux que Myles chante sur l'album solo, d'un vague tube de Velvet Revolver, peut être un boquet de Slash's Snakepit histoire de dire, mais qu'il allait surtout être un gros best of des Guns ! Mal m'en prît, puisque c'est pas moins de 7 morceaux de l'album solo auxquels on a eu droit, contre 5 des Guns (Night Train, Rocket Queen, Civil War, Paradise City et Sweet Child O'Mine), et le reste d'un florilège de morceaux tout pourris dans lesquels j'ai vaguement reconnu du Velvet Revolver et du Snakepit. Mais comme j'ai jamais été fan de ces deux groupes, je n'en suis même pas sûr, et je m'en cogne un peu à vrai dire.
Si au moins le show avait été un peu impressionnant, un peu original, un peu en place, j'aurais pu me remettre de la déception de la setlist, mais que nenni. C'était mou, maladroit, parfois à la limite du ridicule, à l'instar du mixage qui coupe le son de TOUS les instruments et qui double le volume de Slash dès qu'il a le malheur de taper un solo. Et y en a des solos !! Bon, il joue sa race hein le garçon, y a pas à chier, mais je m'attendais pas à un tel déballage d'égo surdimensionné. Bref, au bout de 3 morceaux, je me suis demandé si ça allait démarrer à un moment, au bout de 30 minutes, je me suis demandé si tout le concert allait être comme ça, au bout d'une heure, je me suis demandé quand ça allait s'arrêter, et au bout d'1h30, je suis sorti de la salle et j'ai été faire le con dans le circle pit permanent de Devildriver qui jouait dans la salle à côté. Et pourtant, j'aime pas Devildriver. Après deux heures, c'était enfin fini !
Au final, le concert m'a fait l'effet que je pensais que l'album me ferait avant sa sortie. Ronflant, inutile, frimeur, et globalement médiocre. Slash reste bien entendu un des meilleurs guitaristes que la terre ait jamais porté (malgré les innombrables pains, et après on se moque de Kirk Hammet!), mais le show était vraiment minable et mis en place avec un amateurisme qu'on n'attend pas d'une star de cette trempe. Et en plus, les t-shirts étaient pourris et la bouffe dégueu et hors de prix ! On ne m'y reprendra pas de si tôt naudidju !
Plus dure fût la chute...
Dès le début du concert, j'ai commencé à flairer l'oignon. Je pensais sincèrement que le concert allait se composer des deux morceaux que Myles chante sur l'album solo, d'un vague tube de Velvet Revolver, peut être un boquet de Slash's Snakepit histoire de dire, mais qu'il allait surtout être un gros best of des Guns ! Mal m'en prît, puisque c'est pas moins de 7 morceaux de l'album solo auxquels on a eu droit, contre 5 des Guns (Night Train, Rocket Queen, Civil War, Paradise City et Sweet Child O'Mine), et le reste d'un florilège de morceaux tout pourris dans lesquels j'ai vaguement reconnu du Velvet Revolver et du Snakepit. Mais comme j'ai jamais été fan de ces deux groupes, je n'en suis même pas sûr, et je m'en cogne un peu à vrai dire.
Si au moins le show avait été un peu impressionnant, un peu original, un peu en place, j'aurais pu me remettre de la déception de la setlist, mais que nenni. C'était mou, maladroit, parfois à la limite du ridicule, à l'instar du mixage qui coupe le son de TOUS les instruments et qui double le volume de Slash dès qu'il a le malheur de taper un solo. Et y en a des solos !! Bon, il joue sa race hein le garçon, y a pas à chier, mais je m'attendais pas à un tel déballage d'égo surdimensionné. Bref, au bout de 3 morceaux, je me suis demandé si ça allait démarrer à un moment, au bout de 30 minutes, je me suis demandé si tout le concert allait être comme ça, au bout d'une heure, je me suis demandé quand ça allait s'arrêter, et au bout d'1h30, je suis sorti de la salle et j'ai été faire le con dans le circle pit permanent de Devildriver qui jouait dans la salle à côté. Et pourtant, j'aime pas Devildriver. Après deux heures, c'était enfin fini !
Au final, le concert m'a fait l'effet que je pensais que l'album me ferait avant sa sortie. Ronflant, inutile, frimeur, et globalement médiocre. Slash reste bien entendu un des meilleurs guitaristes que la terre ait jamais porté (malgré les innombrables pains, et après on se moque de Kirk Hammet!), mais le show était vraiment minable et mis en place avec un amateurisme qu'on n'attend pas d'une star de cette trempe. Et en plus, les t-shirts étaient pourris et la bouffe dégueu et hors de prix ! On ne m'y reprendra pas de si tôt naudidju !
La playlist de la semaine : I See Dead People !
2010 aura été une année bien triste pour le rock n'roll, les musiciens sont tombés comme des mouches. J'ai donc eu l'idée de ce petit hommage sous forme de playlist consacrée aux groupes dont un membre éminent nous a quitté, récemment, ou pas. J'ai choisi des chansons aux titres, aux ambiances ou aux thèmes qui collaient, et au final la compile me semble assez cohérente, même si je dois bien reconnaître que je ne suis pas très à l'aise avec le côté morbide de la chose. Mais bon, j'ai bossé dessus comme un malade, et puis c'est pas comme si j'allais me faire du pognon avec...
- Black Sabbath : "Die Young" (Ronnie James Dio, 1942-2010)
- Type O Negative : "Dead Again" (Peter Steele, 1962-2010)
- Slipknot : "Everything Ends" (Paul Gray, 1972-2010)
- Pantera : "Hollow" (Dimebag Darrell, 1966-2004)
- Death : "Sacred Serenity" (Chuck Schuldiner, 1967-2001)
- Alice In Chains : "Rain When I Die" (Layne Staley, 1967-2002)
- Nirvana : "I Hate Myself And I Want To Die" (Kurt Cobain, 1967-2004)
- Snot : "Absent" (Lynn Strait, 1968-1998)
- Drowning Pool : "Bodies" (Dave Williams, 1972-2002)
- Evile : "Cemetary Gates" (Mike Alexander, 1977-2009)
- Avenged Sevelfold : "Afterlife" (James Owen "The Rev" Sullivan, 1981-2009)
- Metallica : "Fade To Black" (Cliff Burton, 1962-1986)
- Ozzy Osbourne : "You Can't Kill Rock n'Roll" (Randy Rhoads, 1956-1982)
- Kiss : "Somewhere Between Heaven And Hell" (Eric Carr, 1950-1991)
- AC/DC : "Hell Ain't A Bad Place To Be" (Bon Scott, 1946-1980)
- Queen : "Innuendo" (Freddie Mercury, 1946-1991)
Les sorties de la semaine
- Pro-Pain : "Absolute Power"
Avec Pro-Pain, j'ai le même problème avec tous les albums : c'est vachement bien, puissant et tout et tout, mais c'est pas aussi bien que Contents Under Pressure, qui date quand même de 1996. Et c'est pareil avec ce Absolute Power, je n'ai rien de mal à en dire, mais rien de formidable non plus. - Klone : "Black Days"
Comparer Klone à Tool serait un raccourci facile que je ne prendrai pas. Certes, ils partagent avec eux le sens des mélodies, des structures alambiquées et de l'installation complexe et ordonnée d'ambiances hallucinantes. Mais la comparaison s'arrête là. Klone est bien plus que ça. Déjà, ils ne singent personne, se contentant d'être eux-mêmes, avec une identité sonore forte, un chanteur ultra-doué à la voix variée, puissante et harmonieuse, et des arrangements grandiloquents. Black Days est donc un album multi-couches richissime, dans lequel on découvre de nouvelles choses à chaque écoute, et à côté duquel il serait vraiment dommage de passer. - Pain Of Salvation : "Road Salt One"
Il y a plein de bonnes idées dans la musique de cet album. Plein de sonorités intéressantes, d'instruments que j'ai pas l'habitude d'entendre mais qui me plaisent bien (genre du mellotron, du vibraphone, tout ça), un chant riche et varié, mais ça manque sérieusement de cojones, et c'est bien dommage. Tu rajoutes une petite influence à la Napalm Death dans un groupe comme ça, et ils te déchirent tout. Ici, ça a beau être très joli et très bien fait, c'est aussi très vite chiant. - Alive Inc. : 669
Rien ne laisse présager qu'Alive Inc. est un groupe français. En tout cas, pas la musique, qui est une sorte de hard rock métal mélodique comme les américains en sortent 784 tous les mois. C'est super bien fait, tellement que ça fait un peu "formaté" en fait. Et puis, le chanteur a beau avoir un joli brin de voix, ses refrains sont régulièrement pourris par un effet à peu près aussi horripilant que l'auto-tune. Entre ça et son influence à la Disturbed, ça fait un peu beaucoup. - Hostile Cell : The Deafening
ça commence plutôt bien pour Hostile Cell qui ouvre les hostilités sur un gros riff à la Machine Head, suivi d'un chant heavy couillu plein d'emphase, un petit break bien beuglé, et un refrain imparable avec un chant mélodique catchy à souhait. En 1'20" d'album, Hostile Cell remplit son contrat et aligne les bons points. Malheureusement, le reste de l'album ne suit pas. Il aurait encore pu obtenir la mention "pas mal", mais se voit disqualifié pour usage absolument interdit d'auto-tune. - Masterplan : Time To Be King
Je déteste le power metal, mais d'une force !! Pourtant, quand j'ai entendu un extrait de cet album sur une compile, ça m'a bien fait rigoler. Bon ok, j'étais en vacances, il faisait beau, tout ça. C'est sans doute la voix du chanteur, Jorn, qui n'est pas sans rappeler celle de Dio, qui m'a bien plu. Mais bon, maintenant que les vacances sont finies, je me rends bien compte que ce genre de truc n'est vraiment pas du tout du tout pour moi.
dimanche 11 juillet 2010
Decapitated vs. The Beastie Boys
En général, le principe des mash up (qui consiste à mixer la piste vocale d'une chanson avec la piste sonore d'une autre) me laisse quelque peu de marbre... Mais heureusement, il y a des exceptions, comme cette vidéo d'une Lady Gaga Meshuggahisée avec brio, ou cette petite perle sur laquelle je viens de tomber :
Le retournement de veste de la semaine : Slayer - "World Painted Blood"
Je n'avais pas été tendre l'année dernière avec la dernière fournée de nos amis de Slayer. Et puis, entre les vidéos de leurs diverses prestations de ces derniers mois, et surtout le show phénoménal des Big Four où ils ont tenu le haut du pavé à l'aise, je me suis quand même remis en question. Pourtant, la concurrence était rude par définition, mais y a pas à chier, des 4, Slayer était le plus impressionnant, le plus précis et le plus puissant. Le plus étonnant, c'est que leur déjà courte setlist contenait deux titres de World Painted Blood, et que pour la première fois depuis 1990, ces morceaux ne dénotaient pas par rapport à Chemical Warfare ou Angel Of Death, que du contraire !!
En tout cas, ça m'a donné une furieuse envie de réécouter cet album, et j'ai eu la confirmation de ce que je supputais : cet album est une GROOOOOOOOSSE tuerie ! De celles qui laissent des traces indélébiles. Alors certes, ce n'est pas aussi bien que leur discographie pré-1990, mais arrêtons de nous leurrer : Slayer ne sortira JAMAIS un meilleur album que Seasons In The Abyss, pas plus que Metallica ne surpassera Master Of Puppets, ou Anthrax Among The Living. Ces disques sont des monuments, qu'ils restent là où ils sont, ils y sont très bien. Et si on accepte ça, on ne peut que se réjouir de la rage sans nom qui submerge World Painted Blood, du morceau-titre en ouverture, à l'introduction taillée pour la scène, et aux breaks multiples et plus jouissifs les uns que les autres. Quand au reste de l'album, il n'a pas à palir : les morceaux rapides sont d'une efficacité redoutable, les morceaux aux tempos plus lents et aux structures à tiroir malsains et poisseux à souhait, bref, ne boudons pas notre plaisir, malgré ce que j'ai pu en dire par le passé, World Painted Blood est un putain d'album.
SLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!
SLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!
News Of The World
- Il paraîtrait que comme quoi Colin Farrel pourrait incarner Ozzy dans un éventuel futur biopic sur le Prince des Ténèbres. ça fait beaucoup de si, et en plus je me demande si j'aurais pas préféré que ce soit Ben Stiller qui s'y colle...
- Y a des mecs comme ça, tout ce qu'y font est excellent... Regarde Maynard par exemple. Ce mec, même quand il reprend du Elton John, ça tue...
- Mike Judge serait en train de terminer des nouveaux épisodes de Beavis & Butthead !!! En respectant strictement le format d'époque, la seule nouveauté étant qu'on y verrait des clips plus récents...
- Carnet rose : Trent Reznor va être papa ! Ouais bon ok on s'en fout mais c'est les vacances donc y a un peu zéro news savez...
- Linkin Park sauve mon année en sortant un nouvel album en septembre !! Ben ouay, jusqu'ici, tous ceux sur qui je comptais pour le poste de "pire album 2010" m'ont lâchement abandonné en sortant des albums bons, voire excellents, mais je sais que Linkin Park ne s'abaissera pas à ça et sortira une vraie grosse bouse comme ils savent si bien les faire !
- J'avais pour projet de playlist un thème sur les groupes qui ne se sont pas (encore) reformés. Je vais devoir en retirer Ugly Kid Joe, puisqu'ils viennent d'annoncer leur grand retour sur scène et en studio !
- On peut écouter le nouveau Hellyeah dans son intégralité ici. De là à dire que ça vaut la peine d'être écouté, il y a un grand pas que je ne franchirai pas...
Inscription à :
Articles (Atom)