samedi 2 juillet 2011

Le monde est foutu !

Tain c'est naze Coldplay. Wait, what ?


P.S. : fait chier la numérotation des posts, plus de numéros d'épisodes, ça devient une saga !

Anvil : "Juggernaut Of Justice"

Anvil, c'est ce groupe des années 80 qui n'avait jamais réussi à percer, mais qui n'a jamais baissé les bras, jusqu'à ce qu'un excellent documentaire consacré à leur histoire ne fasse un carton et ne remette le groupe dans la mémoire collective des métalleux. Et c'est une très bonne chose, parce que le groupe est vraiment dédié à sa musique, et n'a jamais baissé les bras, malgré plus de 30 ans de galères et de plans foireux jalonnés par l'un ou l'autre succès qui leur a permis de s'accrocher à leur rêve. Alors du coup, quand j'ai lu que le frontman pouvait enfin vivre de la musique, j'étais vachement content pour lui. Cela étant dit, il ne faudrait pas perdre de vue que si Anvil n'a jamais vraiment décollé, c'est parce que c'est vraiment pas terrible, musicalement parlant. Sur ce petit dernier, c'est une collection de clichés heavy metal torchés à la va-vite, chantés à la va comme je te pousse, on dirait presque une parodie. Alors certes, le groupe a le vent en poupe parce que le docu leur a donné un important capital sympathie, mais entre touchant et pathétique, il n'y a qu'un pas que le groupe ne va pas tarder à franchir, à ce train là.

vendredi 1 juillet 2011

Clutch Unplugged !!!

Après les morceaux bonus acoustiques de l'édition Deluxe de Blast Tyrant, Clutch a donné son tout premier concert unplugged de saaaaaa vie dans un magasin de disques (un magasin de quoi ? me disent les moins de 15 ans qui sont dans la place...). Heureusement qu'il y en avait un qui avait un beau GSM pour filmer tout ça !

Mon Hellfest 2011. Samedi 18 juin

Deuxième journée sur le site. Je commençai avec Thin Lizzy, qui m'a pas du tout, mais du tout emballé. Je ne saurais dire si c'était bien tellement j'ai trouvé le groupe inintéressant. Ceci est uniquement mon point de vue évidemment , le groupe avait visiblement bien joué et avait bien sûr fait son hommage à Gary Moore.
On s’arrêta mon pote et moi devant Apocalyptica, car celui ci ne les avait jamais vu (ni même en photo). "Ah ouais marrant comment ils jouent sur leur violoncelle". Silence de cinq minutes. "Wow ! Ils vont nous jouer tout Metallica ou quoi ? Aller on se casse !"


En effet je n'avais pas le temps de trainer devant ce show qui malgré tout n'avait l'air pas si mal, mais voir Times Of Grace était une de mes priorités de la journée. Si le CD a longtemps tourné dans ma voiture du fait qu'il est génialissime, voir le groupe en live était bien moins excitant que dans mes rêves. C'était loin d'être mauvais, mais il manquait ce je ne sais quoi qui prend aux tripes quand la chanson studio est transposée avec puissance, et je ne parle pas que de gros son, dans nos oreilles via la scène.


Mais la déception fût vite oubliée car j’enchainai avec Black Label Society. C'était la deuxième fois que je voyais le groupe en vrai et je fus ravi de voir que le spectacle était de la même qualité à savoir un putain de show ! Mr Zakk et ses compères étaient en forme et nous livrèrent leurs boyaux sur un plateau d'argent. Hellfest oblige, ils laissèrent de coté les ballades pour nous offrir que du son brut et vrombissant. Seul point noir au tableau, le solo extrêmement long à deux trois chansons avant la fin du set. C'est Zakk Wylde
quand même bordel de merde !... Non c'était vraiment lassant. Enfin bon pour moi il reste quand même le plus fort, le plus beau, le plus plus plus.

Je vis ensuite en coup de vent Kreator, et je regrette maintenant de ne m'y être pas plus attardé, car c’était vraiment puissant.
Vint ensuite un des concerts le plus ennuyant que j'ai pu voir dans ma courte vie de headbanger. Scorpions. La décoration était sympa, les musiciens jouaient bien et avaient un look entre le cool et le ridicule, mais le chanteur m'a tué quand j'ai entendu sa voix. "Euh c'est quoi ça ? C'est pas si nasillard sur les disques. Ils nous fait quoi là ?" Pas mal de gens ce sont enfuis au fur et à mesure du show. Je me disais "C'est Scorpions quand même. Ils prennent leur retraite aprés. Antoine mon ami si tu pars maintenant tu ne les reverras plus jamais". Mais au bout de 4 ballades d'affilées, j'ai craqué et je me suis enfui à mon tour voir la fin du concert de Converge qui ma foi déboitait pas mal. Après cela tout le monde se réunit devant les deux main-stage pour voir l'hommage fait à Patrick Roy émouvant, suivit d'un feu d'artifices avec sur écran une diapositive sur les artistes aetal mort au cours de cette année (sniff Peter Steele)


Je finis cette journée en allant voir The Haunted pour un concert qui avait mis beaucoup de temps à démarrer (aucune balance n'avait été faite) mais surtout pour un concert démoniaque qui m'a arraché le slip dès la première note. Entre les chansons le chanteur nous baragouinait je ne sais quoi, complétement affalé sur son pied de micro. Je ne m'attendais pas vraiment à prendre un tel coup de ranger dans la gueule, et il va falloir à tout prix que je puisse les revoir. A la fin je rentrai lessivé dans ma tente pour passer une nuit courte parmi les loups-garous (des soulards ouais !) et autres trolls rodant dans les allées coupe gorge (remplies de canettes de bière vides. Et totale dédicace à la gonzesse qui s'est cassé la gueule sur moi. Tu t'en es pas rendu compte mais si tu as pu te rattraper, c'est parce que tu t'es agrippé à ma tête toute somnolente.)

Devin Townsend Project : "Ghost"

Si Deconstruction représentait l'aspect le plus hevy de Devy, Ghost était annoncé comme le plus doux et mielleux. Et de fait, c'est doux et mielleux. J'aimerais bien pouvoir en dire du bien, mais très honnêtement, j'aime pas. On dirait du Vangelis, du Enya, y a une PUTAIN DE FLUTE DE PAN !!! Enfin, loin de moi l'idée de vouloir dire du mal de ce disque ou de Devin hein, mais c'est clairement pas ma came. C'est pour ça qu'il est trop fort Devin : même quand j'aime pas, c'est bien quand même.

jeudi 30 juin 2011

Top Album 2011 : Bilan à mi-course !

Comme le temps passe vite quand on s'amuse ! Ces derniers mois, le blog a quelque peu changé de rythme, mais le top album annuel reste le moteur de tout ça, donc il hors de question qu'on fasse l'impasse sur notre petit bilan trimestriel ! Pas beaucoup de surprises révolutionnaires en ce deuxième trimestre, même si on peut d'ores et déjà dire que 2011 sera globalement plus riche en albums majeurs que 2010. On a déjà eu droit à quelques sorties majeures, mais avec Mastodon, Machine Head et Anthrax qui sont annoncés d'ici la fin de l'année, on devrait en voir de belles, et la bataille pour le numéro un s'annonce rude ! Je me réjouis d'y être tiens ! En attendant, voici les cartouches à ma disposition à la mi-temps : 

...And You Will Know Us By The Trail Of Dead : "Tao Of The Dead" (prog alternatif)
Aaron Lewis : "Town Line" (modern country par le chanteur de Staind)
Abigail Washburn : "City Of Refuge" (counrty alternative)
- Absolute Power : "Absolute Power" (true metal fait par des deatheux dont Shane Embury)
Agnostic Front : "My Life My Way" (old school hardcore legends)
Amon Amarth : "Surfur Rising" (viking death metal)
- Amorphis : "The Beginning Of Times" (gothic metal à tendance folkisante)
- Anvil : "Juggernaut Of Justice" (come back heavy metal cheap mais sympa)
- Arch Enemy : "Khaos Legion" (metal by numbers)
Architects : "The Here And Now" (screamometalcore)
- Arsonists Get All The Girls : "Motherland" (metal moderne avec du 8 bits dedans)
- Artillery : "My Blood" (heavy metal thrashy)
As Blood Runs Black : "Instinct" (metalcore à l'américaine)
Assassin : "Breaking The Silence" (thrash allemand)
- Autopsy : "Macabre Eternal" (death thrash black)
- Barn Burner : "Bangers II : Scum Of The Earth" (stoner épique couillu)
- Beastie Boys : "Hot Sauce Committee Part Two" (électro-rap-c'était-mieux-avant)
- Becoming The Archetype : "Celestial Completion" (deathcore progressif chrétien)
- Betfezer : "Freedom To The Slavemakers" (metal moderne au chant très varié)
- Between The Buried And Me : "The Parallax : Hypersleep Dialogues" (metal progressif barré)
- Black Country Communion : "2" (classic rock)
- The Black Dots Of Death : "Ever Since We Were Children" (rap alternatif avec le clown de Slipknot)
- Black Label Society : "The Song Remains Not The Same" (autoreprises acoustiques)
- Black Spiders : "Sons Of The North" (hard rock)
Blood Of Martyrs : "Even The Dead Long For Spring" (métal expérimental)
Blunt Trauma : "The Human Archetype" (deathcore)
Born Of Osiris : "The Discovery" (deathcore progressif, aussi antinomique que ça puisse paraître)
- Brent Hinds Presents : "Fiend Without A Face vs. West End Motel" (projets rigolos du frontman de Mastodon)
- Bukowski : "The Midnight Sons" (rock moderne à tendance stoner)
Cake : "Showroom Of Compassion" (rock alternatif nonchalant)
- Caliban : "Coverfield EP" (reprises en metalcore t'es beau tu chantes bien)
Caligula : "Not Too Short To Be Great" (metal foufou)
- Camion : "A Serenade For Yorkels" (rock hardcore groovy)
Caparezza : "Il Sogno Eretico" (rap fusion italien)
Cavalera Conspiracy : "Blunt Force Trauma" (thrash moderne)
- Cave In : "White Silence" (rock metal barré couillu)
- Channel Zero : "Feed'em With A Brick" (belgian metal legends)
- Chrome Division : "3rd Round Knockout" (ROCK N FUCKING ROLL)
- The Cleansing : "Feeding The Inevitable" (death metal)
Cowboy Junkies : "Demons" (country moderne)
- Crackdown : "Enough Is Enough" (beatdown hardcore)
Crowbar : "Sever The Wicked Hand" (sludge gods !!)
Darkest Hour : "The Human Romance" (american metalcore)
David Neil Cline Band : "Flying In A Cloud Of Controversy" (Clutch-like wannabes)
Deadlock : "Bizzaro World" (metal à chanteuse)
Debauchery : "Germany's Next Death Metal" (death à la SFU !!)
Deicide : "To Hell With God" (anti god death metal)
- Demonical : "Death Infernal" (death à la suédoise)
- Denizen : "Whispering Wild Stories (hard rock stoner made in France)
- Deranged : "Cut Carve Rip Serve" (death metal)
Destruction "Day Of Reckoning" (thrash allemand)
DevilDriver : "Beast" (modern american thrash)
Dropkick Murphys : "Going Out In Style" (Celtic Punk)
- Devin Townsend Project : "Ghost" (Hevy Devy goes Vangelis)
- Devin Townsend Project : "Deconstruction" (Hevy Devy goes berzerk !)
- Dia De Los Muertos : "Satanico Dramatico" (death metal)
- Dropkick Murphys : "Going Out In Style" (punk folm celtique)
- Duff McKagan's Loaded : "The Taking" (hard rock FM moderne)
Earth : "Angels Of Darkness, Demons Of Light 1" (doom acoustique expérimental)
Eddie Spaghetti : "Sundowner" (folk rock)
- Eddie Vedder : "Ukulele Songs" (ben Eddie Vedder et un ukulele donc)
Emmure : "Speaker Of The Dead" (Limp Bizkit version deathcore)
- Enslaved : "The Sleeping Gods EP" (death black progressif atmosphérique)
- Essence : "Lost In Violence" (thrash old school)
Excavated : "Ad Libitum" (old school death metal)
Fading Bliss : "EP" (gothic doom death)
The Famine : "The Architects Of Guilt" (death metal)
- Foo Fighters : "Wasting Light" (gros rock)
- Fucked Up : "David Comes To Life" (punk rock hardcore alternatif)
Full Blown Chaos : "Full Blown Chaos" (metal hardcore beatdown)
- Gay Paris : "The Skeleton's Problematic Grandaughter" (rock stoner bluesy)
- Ghost Town : "Calamites" (hardcore)
Glassjaw : "Our Color Green" (screamo)
Goes Cube : "In Tides And Drifts" (on va encore juste dire metal)
The Grand Astoria : "Omnipresence" (stoner)
- Graveyard : "Hisingen Blues" (Led Zep meets Lynyrd Skynyrd meets Ennio Morricone)
- Guano Apes : "Bel Air" (rock alternatif ultra crédible, sisi !)
- Haemorrhage : "Hospital Carnage" (goregrind gods)
Hank III : "Hillbilly Joker" (country cowpunk metal hardcore rock sludge)
- Hate Eternal : "Phoenix Among The Ashes" (death old school)
- Hatriot : "Demo" (thrash feat Steve Zetro Souza)
The Haunted : "Unseen" (metal moderne intelligent)
- Havok : "Time Is Up" (thrash old school)
- Heavy Lord : "Balls To All" (dooooooom)
- Hell : "Human Remains" (occult heavy metal barré)
- The Hillbilly Moon Explosion : "Buy, Beg Or Steal" (surf old pop rockabilly)
- Hugh Laurie : "Let Them Talk" (Dr. House goes blues)
The Human Abstract : "Digital Veil" (metal progressif djentocore)
Hurtsmile : "Hurtsmile" (hard rock avec Gary Cherone !)
I Want You Dead : "We Are The Legions Of Scums" (hardcore)
- In Flames : "Sounds Of A Playground Fading" (melodeath)
- Incubus : "If Not Now, When ?" (on se le demande)
- Integrity : "The DestroyORR" (evil hardcore)
J Mascis : "Several Shades Of Why" (chanteur de Dinosaur Jr. en solo)
- The Jesus Lizard : "The Peel Sessions" (rock alternatif)
- Job For A Cowboy : "Gloom EP" (death metal)
- Jungle Rot : "Kill On Command" (death metalà
- Karma To Burn : "V" (stoner instrumental de haute volée)
Lazarus AD : "Black River Flows" (thrash)
Legion Of The Damned : "Descent Into Chaos" (thrash)
Les Ekorchés : "Frères de Sang" (métal québécois)
- Limp Bizkit : "Gold Cobra" (y a pas de mots)
Lionheart : "Built On Struggle" (hardcore tough guy à la Hatebreed)
- Loudblast : "Frozen Moments Between Life And Death" (french death metal legends are back !)
Macabre : "Grim Scary Tales" (Macabre metal)
- Maligno : "Universevil" (mexican doom)
Mastodon : "Live At The Aragon" ("Crack The Skye" en entier en live !!!)
- Meat Puppets : "Lollipop" (grunge acoustique soporiphique)
- Mindset : "Midnight Sky" (wrong band)
- Monsterworks : "The God Album" (metal original)
- Morbid Angel : "Illud Divinum Insanus" (surprise !!)
Most Precious Blood : "Do Not Resucitate" (hardcore)
Mother Of Mercy : "IV: Symptoms Of Existence" (metal)
Motorhead : "The World Is Yours" (rock n'fucking roll !!!)
- Nader Sadek : "In The Flesh" (black death)
No One Is Innocent : "Gazoline" (Noir Désir wannabes)
- No Turning Back : "Reaching Forward" (hardcore)
O'Death : "Outside" (alternative country americana)
One Man Army And The Undead Quartet : "The Dark Epic..." (melothrash)
Onslaught : "Sounds Of Violence" (thrash)
- Origin : "Entity" (death metal brutal et technique)
- Otep : "Atavist" (nu metal avec une chanteuse pas contente parce que la guerre c'est pas bien)
- Pantheist : "Pantheist" (cheap Pink Floyd wannabes)
- Pentagram : "Last Rites" (classic stoner doom)
- Pestilence : "Doctrine" (technodeath)
- Protest The Hero : "Scurrilous" (Metal progressif épique)
The Project Hate MCMXCIX : "Bleeding The New Apocalypse" (death metal symphonique)
- Red Fang : "Murder The Mountains" (stoner)
- Revoker : "Revenge For The Ruthless" (alt.metal with balls)
Rise Against : "Endgame" (punk rock mélodique intelligent)
Roger Miret & The Disasters : "Gotta Get Up Now" (projet punk rock n'roll du frontman d'Agnostic Front)
Rotten Sound : "Cursed" (blackened death n'roll)
Sargon : "In Contempt" (deathrash)
- Sarke : "Oldarhian" (doom black)
- Scar Symmetry : "The Unseen Empire" (melodeath)
- Seasick Steve : "You can't Teach An Old Dog New Tricks" (blues country folk)
- Sepultura : "Kairos" (metal)
Shroud Eater : "ThunderNoise" (sludge poisseux)
- The Sign Of The Southern Cross : "I Carry The Fire EP" (southern metal)
Sins Of The Father : "Sins Of The Father" (metal)
- Sixx A.M. : "This Is Gonna Hurt" (alt.metal FM avec Nikki Sixx)
- Skindred : "Union Black" (raggametal, ex-Dub War)
Social Distortion : "Hard Times And A Nursery Rhyme" (legendary punk rockabilly)
- Southell : "Alcohol Fueled, Weed Inspired" (southern metal)
Sparzanza : "Folie à Cinq" (alt metal)
- Straight Line Stitch : "The Fight Of Our Lives" (Jada Pinkett wannabe)
- Sum 41 : "Screaming Bloody Murder" (punk rock alternatif)
Sylosis : "Edge Of The Earth" (thrash metal moderne)
TesseracT : "One" (djent mélodique)
Thomas Giles : "Pulse" (électro-prog-metal, projet solo du chanteur de Between The Buried And Me)
- Throwing Muses : "The Seasons Sessions" (rock alternatif à filles)
Times Of Grace : "The Hymn Of A Broken Man" (le meilleur album de Killswitch Engage !!)
Total Fucking Destruction : "Hater" (thrash grind)
Travis Barker : "Give The Drummer Some" (Tommy Lee wannabe)
UK Subs : "Work In Progress" (punk legends)
Ultraphallus : "Sowberry Again" (doom expérimental)
- Unearth : "Darkness In The Light" (thrash/metalcore)
The Unraveling : "13 Arcane Hymns" (alt metal)
- Urge Overkill : "Rock & Roll Submarine" (rock alternatif)
- Vicious Rumours : "Razorback Killers" (heavy metal with balls)
- Victims : "A Dissident" (hardcore)
- Vreid : "V" (black metal)
- Warrant : "Rockaholic"(Bon Jovi wannabes)
We Are The Damned : "Holy Beast" (death metal)
Weedeater : "Jason...The Dragon" (stoner/sludge)
- White Wolves : "White Wolves" (stoner)
Whitesnake : "Forevermore" (hard rock de classe mondiale)
- Winds Of Plague : "Against The World" (deathcore)
Wo Fat : "Noche Del Chupacabra" (stoner psychédélique) 
- Wormrot : "Dirge" (grindcore thailandais)

Sans rien vous révéler (même si la lecture des chroniques devrait vous laisser des indices gros comme la Louisiane), il y a dans cette liste 5 albums qui figureront à coup sûr dans le classement final, cinq autres qui sont en balance mais qui risquent d'être oblitérés par les sorties à venir, et une quinzaine de coups de coeur qui seraient mieux placés si la concurrence n'était pas aussi rude cette année. On est donc bien partis pour un top 30 à nouveau cette année !

Mon Hellfest 2011. Vendredi 17 juin (bis)

La rigolade finie, il était temps pour moi de me frotter au rock instrumental de Karma To Burn. Le groupe nous a donné ce qu'il fait de mieux, à savoir du fucking riff à gogo. Et que j'te balance tout ça dans la gueule. Pas de rêve à vendre, juste un très bon moment à passer.
A peine le concert fini, je me dirige en courant vers le main stage pour aller voir Down ! Ma première rencontre avec Phil Anselmo. Un pur moment de Metal. Pour tout avouer et quitte à me faire kicker du blog, j'étais loin d'être fan (yeaaah j'ai pas peur) et le Phil me tapait un peu sur le système "mais pourquoi le patron l'aime tant ? Il a une voix de merde (j'suis un ouuuuf moi !!) et il a une tête de con (appelez moi "human-bomb" désormais). Mais ça, c'était l'Antoine d'avant. L'ignorant parmi les ignorants. PUTAIN DE PUTAIN DE MERDE mais quel charisme, quelles chansons !! Ce chanteur place son public sur un piédestal et n'a fait que l'applaudir et le remercier de leur présence. Le show était puissant et enivrant. Tout autre commentaire serait superflu.
Cette après midi ne m'offrit aucun répit, et j’enchainai directement avec Meshuggah et leurs titres dévastateurs. La prestation était claire, nette, carrée, sans anicroche. Aucune déception. C'est du Meshuggah. Je sais maintenant pourquoi leur chanteur a l'air si méchant et fait une tête de zombie pas possible avec une posture du Christ sur sa croix... euh alambiqué dirai je. Si vous étiez le seul chauve dans une bande de super-chevelus, vous seriez aussi énervé que lui.

Place à la légende Iggy Pop et ses Stooges. L'homme le plus décomplexé du monde bougeait dans tous les sens, faisait le pitre, se roulait par terre, serrait des mains sans arrêt. Iggy était un électron libre au grand dam de son roadie (pas tout jeune) qui devait sans cesse lui donner des bouteilles d'eau qui finissaient plus sur le sol que dans le gosier du chanteur, et démêler le fil du micro qui se coinçait partout ou passait la star. Du grand n'importe quoi pour notre plus grand plaisir. Mais si l'iguane était plus dans le show scénique au détriment de la chanson, ses musiciens eux ont fait un set qui m'a paru impeccable (note qui sert à rien : le bassiste faisait peur avec sa tête de pervers)
Le dernier artiste que je vis fût le grand, l'incroyable, et très cool Rob Zombie. incontestablement le show le plus sympathique de la journée. Le Rob sautait de plate-forme en plate-forme, dansait ... un peu comme Michael Jackson, et faisait beaucoup participer son public en parlant avec lui et en le faisait chanter. Moments supers-cools : quand il a divisé la foule en deux pour leur faire crier d'une part "Rock" et d'une autre "Motherfucker" (héhé j'étais dans celle la) pour Sick Bubblegum, et, eeett surtout quand les danseuses topless sont montées sur scène. J'étais ravi de voir John 5 en action et de voir qu'il assurait un max aussi bien en live que sur ses albums. Le set fini, c'est en titubant que je retourne vers ma tente le sourire aux lèvres ne sachant pas encore que j'allais passer une nuit avec les pieds gelés. (... j'ai pas trouvé mieux comme chute pour la fin du post).

Devin Townsend Project : "Deconstruction"

Annoncé par son instigateur comme le projet le plus heavy sur lequel il ait jamais travaillé, j'attendais la 3ème partie de la quadrilogie annoncée de pied ferme. Ben ouais, quand le mec qui a formé Strapping Young Lad te dit qu'il va sortir un truc ENCORE plus heavy, tu te dis que tes oreilles vont saigner. Au début, l'ambiance de l'album ressemble à s'y méprendre à celle de Ki, premier volet de la quadrilogie. Mêmes tempos, mêmes ambiances faussement éthérées pleine de tensions sous jacentes. Sauf que là ou Ki reste dans cette tension sans jamais exploser, Stand accumule les couches (Hevy Devy style, donc autant dire qu'y en a une putain de volée) jusqu'à l'explosion totale, pour retomber dans le quasi silence, avant de réexploser. La structure est très linéaire, mais il se passe tellement de choses dans les 9 minutes que dure le morceau que j'ai l'impression qu'il va me falloir une vie pour tout décortiquer. Et la tension va crescendo avec le reste de l'album, Juular présentant le même schéma, sur un tempo plus soutenu. Devin n'a pas menti, cet album est absolument époustouflant, nécessite de manière quasi obligatoire une écoute au casque sans aucune distraction pour être apprécié à sa pleine mesure. Son disque le plus heavy ? Ça dépend de ce qu'on entend par heavy. Ce qui est sûr, c'est que c'est d'une richesse incroyable, que la violence des morceaux ne sacrifie jamais le sens de la mélodie et cette technique d'accumulation de couches sur une structure simple et répétitive rend l'ensemble hypnotique. En plus de ça, il se permet absolument tout, même un passage dance au beau milieu de The Mighty Masturbatori ! [troll]QUOI ? UN PASSAGE DANCE ? MAIS C'EST UN SCANDALE ! TOUT ÇA POUR FAIRE DU POGNON ! QUEL VENDU ! C'EST LA HONTE ! FAUT ETRE CON POUR AIMER ÇA ! 25 ANS QUE J'ECOUTE DEVIN TOWNSEND J'AVAIS JAMAIS VU ÇA VOUS ETES TOUS NULS BANDE DE NAZIS !![/troll]. C'est un vrai voyage dans lequel nous invite Devin Townsend, et il est complètement cinglé, donc allez savoir où ce trip va bien pouvoir vous emmener...

mercredi 29 juin 2011

Jane's Addiction : "End To The Lies"

Un jour, je ferai une compile de clip avec des chanteurs qui chantent du mauvais côté de leur micro skull... C'est typique des gens qui ne font ça que dans les clips et jamais en concert, bande d'inculques !!

Mon Hellfest 2011. Vendredi 17 juin

Il m'en aura fallu du temps pour pondre ce post. Les raisons de ce retard sont aussi mauvaises que nombreuses (j'reviens du festival j'suis trop mort, pouah la flemme de dingue je ferai ça demain, je tousse trop ça va être la fête du postillon sur mon écran... etc). La dernière en date est celle qu'y fait une chaleur de dingue (wow mais mon pc va mourir si je l'allume). Mais fini de faire l'enfant. Je profite de cette légère motivation et de ce p'tit courant d'air pour rédiger un max.
Cette année, c'est la première fois que je vais au Hellfest car j'ai enfin réussi à convaincre un pote de venir avec moi. "Mais même si il y pas beaucoup de groupes que tu aimes, c'est pas grave. Il y a Ozzy mec ! Ozzy ! On ne va peut-être plus le revoir !" (j'espère ne pas porter malheur)

Dans le car en direction de Clisson (qui est parti à 2h du mat) je me disais que j'allais voir un max de groupes, que j'allais augmenter ma faible culture métalistique, et qu'ensuite j'allais pouvoir vous conter ma campagne de guerre tel un fier général Romain. J'ai vu 24 shows en tout. J'ai lu qu'on pouvait en voir environ 50 à condition de bien s'y prendre. Je suis ri-di-cule. La raison à cela ? Tous les matins je faisais la grasse mat' ce qui déjà me faisais louper une poignée de groupes. J'ai beaucoup flâné, et... j'ai surtout flâné...


J'ai donc attaqué le festival en matant Alter Bridge, et bordel !! C'est vrai que le groupe se défend bien en live. Myles Kennedy à tout simplement la classe, et sa voix ne 
déçoit à aucun moment. J'étais d'abord étonné qu'il y ait autant de monde devant la scène car le Metal pratiqué est assez "light" par rapport à de nombreux nom sur l'affiche. Mais les compos étaient d'une efficacité redoutable, et j'ai vu plus d'un métalleux patibulaire, headbanger sur celles-ci. Il faut dire que le guitariste n'avait pas l'air peu fier de son travail vu ses grimaces (marrantes). Lesquelles semblaient dire "pfff mais c'est fou ce que je joue, ça déchire sa mère"


Le deuxième groupe que j'ai vu m'étais totalement inconnu. Maximum The Hormone, un groupe japonnais qui avait l'air d'avoir son lot de fans. Pas mal de connaisseurs, et à mon avis, autant de curieux se demandant pourquoi un tel groupe va jouer sur la scène principale. Pour moi, cette bande nipponne a été LA surprise du festival. Mélange de SOAD, et de Pantera hardcore à la sauce manga, les chansons n’étaient pas à tomber le cul par terre. Mais quelle énergie !! Ça bougeait de partout et c'était très entraînant sur le moment (il s’avéra plus tard, après visionnage sur You Tube que le groupe était bien plus intéressant en live). La bande essaya de parler en français à grand renfort de pense-bête (il n'en fallait pas plus à mon coeur de miss france pour être conquis) et nous a fait dire quelques mots en japonnais. L'échange était très sympa même si à un moment on a eu l'impression de se faire engueuler par la batteuse aux airs de matrone.

(la suite demain pour le reste de cette journée)

Denizen : "Whispering Wild Stories"

Le côté résolument old school de Denizen est ultra plaisant, ultra crédible, et ultra réussi. Les compos, le chant, le son, tout fleure bon le rock n'roll des 70's, auxquelles viennent s'ajouter des influences stoner, voire southern, de très bon aloi. Malgré une description qui peut sembler très commune, la musique de Denizen tire malgré tout très facilement son épingle du jeu, tant le groupe maîtrise son sujet. Si Kyuss avait sorti son premier album en 1974, il aurait sans doute ressemblé à ça. Beau boulot !

mardi 28 juin 2011

Mastodon : "Deathbound"

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH et dire que ce morceau est une chute de studio des sessions de Crack The Skye !!! Comment peut-on rêver mieux ? Ce groupe est juste parfait !!!

Blood For Blood : "Mother Dear" live

Pour vous remettre de la défection d'Evan Seinfeld, parti défoncer de la mexicaine prépubère par pack de douze, voici un ptit live de Blood For Blood, qui est bien hardcore sa mère, et dans lequel officie Billy Graziadei !

Arsonists Get All The Girls : "Motherland"

Arsonists Get All The Girls résume à lui seul tout ce que je méprise dans le métal des djeunz d'aujourd'hui. Une bande de hipsters qui s'habillent même pas en noir, qui ont même pas des longs cheveux, qui ont un nom pas possible, qui ont une vision intello-sarcastique de ce que doit être le métal, qui se la racontent sévère, et dont la musique sans queue ni tête fait office de branlette intellectuelle à deux balles qui n'intéresse qu'eux et leurs potes de merde. C'est d'autant plus énervant que le résultat est plutôt pas mal à vrai dire. Influences 8-bits mises à part, l'album se laisse écouter sans peine et a des moments plutôt sympa. Mais je refuse de cautionner cette approche méprisante d'un genre que j'aime et chéris depuis mon plus jeune âge.

lundi 27 juin 2011

The Ocean : "She Was The Ocean"

Le clip est à l'image de l'album dont la chanson est tirée : joli, bien fait, mais stérile et vain.

The Cleansing : "Feeding The Inevitable"

The Cleansing, c'est du death metal, du vrai, du old school bien brutal. Pas l'ombre d'un break, d'un pigsqueal, ni même l'ombre d'un beat gabber ou d'une influence industrielle. Que du death, rien d'autre. Bien fait, mais pas mieux que les autres. Ni moins bien remarque, mais bon, c'est un peu passe partout quoi. La pochette par contre, déchire la race à sa moman. C'est déjà ça.

dimanche 26 juin 2011

Larmes de pâmoison

Petit (?) moment d'émotion, qui fera frémir les plus ritals parmi nous (hein Butt ?)...

Le 12 mars dernier, l’Italie fêtait le 150ème anniversaire de sa création et à cette occasion fut donnée, à l’opéra de Rome, une représentation de l’opéra le plus symbolique de cette unification : Nabucco de Giuseppe Verdi, dirigé par Riccardo Muti.

Nabucco de Verdi est une œuvre autant musicale que politique : elle évoque l'épisode de l'esclavage des juifs à Babylone, et le fameux chant « Va pensiero » est celui du chœur des esclaves opprimés. En Italie, ce chant est le symbole de la quête de liberté du peuple, qui dans les années 1840 - époque où l'opéra fut écrit - était opprimé par l'empire des Habsbourg, et qui se battit jusqu'à la création de l’Italie unifiée.

Avant la représentation, Gianni Alemanno, le maire de Rome, est monté sur scène pour prononcer un discours dénonçant les coupes dans le budget de la culture du gouvernement. Et ce, alors qu’Alemanno est un membre du parti au pouvoir et un ancien ministre de Berlusconi. Cette intervention politique, dans un moment culturel des plus symboliques pour l’Italie, allait produire un effet inattendu, d’autant plus que Sylvio Berlusconi en personne assistait à la représentation…

Repris par le Times, Riccardo Muti, le chef d'orchestre, raconte ce qui fut une véritable soirée de révolution : « Au tout début, il y a eu une grande ovation dans le public. Puis nous avons commencé l’opéra. Il se déroula très bien, mais lorsque nous en sommes arrivés au fameux chant Va Pensiero, j’ai immédiatement senti que l’atmosphère devenait tendue dans le public. Il y a des choses que vous ne pouvez pas décrire, mais que vous sentez. Auparavant, c’est le silence du public qui régnait. Mais au moment où les gens ont réalisé que le Va Pensiero allait démarrer, le silence s’est rempli d’une véritable ferveur. On pouvait sentir la réaction viscérale du public à la lamentation des esclaves qui chantent : « Oh ma patrie, si belle et perdue ! ».

Alors que le chœur arrivait à sa fin, dans le public certains s’écriaient déjà : « Bis ! » Le public commençait à crier « Vive l’Italie ! » et « Vive Verdi ! » Des gens du poulailler (places tout en haut de l’opéra) commencèrent à jeter des papiers remplis de messages patriotiques – certains demandant « Muti, sénateur à vie ».

Bien qu’il l’eut déjà fait une seule fois à La Scala de Milan en 1986, Muti hésita à accorder le « bis » pour le Va pensiero. Pour lui, un opéra doit aller du début à la fin. « Je ne voulais pas faire simplement jouer un bis. Il fallait qu’il y ait une intention particulière. », raconte-t-il.

Mais le public avait déjà réveillé son sentiment patriotique. Dans un geste théâtral, le chef d’orchestre s’est alors retourné sur son podium, faisant face à la fois au public et à M. Berlusconi. C’est alors qu’il invita le public à chanter avec le chœur des esclaves. « J’ai vu des groupes de gens se lever. Tout l’opéra de Rome s’est levé. Et le Chœur s’est lui aussi levé. Ce fut un moment magique dans l’opéra. »... traduction approximative de l'évènement après la vidéo.

Et si vous versez pas une chtite larmouille, eh ben vous êtes même pas drôles !

O mia patria, si bella e perduta...



[Après que les appels pour un "bis" du "Va Pensiero" se soient tus, on entend dans le public : "Longue vie à l'Italie !"]

Muti : Oui, je suis d'accord avec ça, "Longue vie à l'Italie" mais... [applaudissements]

Je n'ai plus 30 ans et j'ai vécu ma vie, mais en tant qu'Italien qui a beaucoup parcouru le monde, j'ai honte de ce qui se passe dans mon pays. Donc j'acquiesce à votre demande de bis pour le "Va Pensiero" à nouveau. Ce n'est pas seulement pour la joie patriotique que je ressens, mais parce que ce soir, alors que je dirigeais le Choeur qui chantait "O mon pays, beau et perdu", j'ai pensé que si nous continuons ainsi, nous allons tuer la culture sur laquelle l'histoire de l'Italie est bâtie. Auquel cas, nous, notre patrie, serait vraiment "belle et perdue". [Applaudissements à tout rompre, y compris des artistes sur scène]

Depuis que règne par ici un "climat italien", moi, Muti, je me suis tu depuis de trop longues années. Je voudrais maintenant... nous devrions donner du sens à ce chant ; comme nous sommes dans notre Maison, le théatre de la capitale, et avec un Choeur qui a chanté magnifiquement, et qui est accompagné magnifiquement, si vous le voulez bien, je vous propose de vous joindre à nous pour chanter tous ensemble. [Ovation]

PS : oui je sais -- TL;DR... mais merci à ceux qui auront opté pour "TL;RIA" ;)

Rammstein vs. Cookie Monster

Si vous avez des enfants et que vous n'êtes pas un hippie à la con qui trouve que la télé c'est le MAAAAAAAAAAAAAAAAAL, montrez Sesame Street à vos enfants, ils apprendront plein de choses. Parmi ces choses, ils apprendront que Cookie Monster est l'inventeur du death metal, et que Rammstein lui doit tout !

News Of The World

  • Paul Bostaph étant apparemment malade d'on sait pas bien quoi, c'est Chris Adler et Gene FUCKING Hoglan qui vont se charger des parties batterie du prochain Testament. Si ça tue pas j'y comprends que dalle.
  • Carnet rose : Scott Ian est depuis peu l'heureux papa de Revel Young. Du coup il prend son congé de paternité pour le Sonisphere et c'est Andreas Kisser qui le remplace. Ça va être tout bizarre ça...
  • "Blasteroids", "Stargasm", "The Octopus Has No Friends", "Curl of the Burl" sont les titres communiqués par Mastodon pour The Hunter, mais je les soupçonne fortement de nous troller un peu. Si c'est le cas, c'est réussi (donc drôle) et si c'est les vrais titres, c'est excellent (et drôle).
  • Jimmy Bower a confirmé que Rex Brown ne faisait plus partie de Down, officiellement à cause de sa pancréatite, mais en même temps, vu qu'il joue dans Kill Devil Hill, c'est quand même bizarre comme excuse...
  • En septembre, on fêtera le 20ème anniversaire de la sortie de Nevermind. Ça nous rajeunit pas hein !! Geffen en profitera pour ressortir la plaque en édition deluxe sa mère qui va couter bien cher.
  • Le nouveau Machine Head s'appellera donc Unto The Locust et devrait nettoyer le top album sans peine. Quoique...