Leur look de tough guy bedonnants à la Emmure ne joue certes pas en leur faveur, mais qu'est-ce que le boquet déchire !!
samedi 26 novembre 2011
vendredi 25 novembre 2011
Le Monde Est Foutu !
J'ai un peu honte de celle-ci, parce que les chiliens de Nimrod sont plein de bonnes intentions, contrairement à toutes ces tapettes à mèche qui méritent juste de mourir d'une septicémie après un tatouage de cou raté. Malgré tout, difficile de ne pas s'écrouler de rire devant le charisme incroyable des musiciens (mention particulière au guitariste), sans même aborder le boquet, qui a fait pleurer ma mère.
jeudi 24 novembre 2011
Megadeth : "Public Enemy #1"
Autant le nouvel album de Megadeth est une belle réussite, autant le clip euh...
mercredi 23 novembre 2011
Van Lennon
J'aimerais bien savoir comment les mecs qui font ces mash up s'y prennent... Je suis persuadé que les deux pistes sont manipulées pour coller aussi bien ensemble, mais j'arrive pas à mettre le doigt sur la faille... En tout cas, ça permet à deux morceaux antinomiques à mort de fonctionner ensemble, et rien que d'avoir pensé à les mashuper, ça me troue...
mardi 22 novembre 2011
Bury Them All : "Bleed To Survive"
Si le mot deathcore fait peur aujourd'hui, c'est parce que le style a été tellement galvaudé qu'il est devenu le nu metal des années 10... Mais il y a dix ans, quand on parlait de deathcore, on pensait à Heaven Shall Burn, Neaera, All Shall Perish, ou End Of Days. Des groupes qui certes mêlaient à leur death metal l'énergie brute et directe du hardcore, moshparts comprises, mais qui le faisaient uniquement pour rendre leur musique plus efficace, et parce qu'ils ont grandi en écoutant avec autant de plaisir Morbid Angel que Sick Of It All. C'est clairement de cette école que se revendique Bury Them All, dont le premier album vient tout juste de sortir. Un album influencé par un death très old school (Obituary, Deicide), dont la touche hardcore est parcimonieuse, toujours efficace, jamais un gimmick. Le vrai plus de l'album, c'est qu'il respire la sincérité de ses membres par tous ses pores, pas de poseurs chez BTA, l'album est une ode au métal qui tache, mais qui garde une musicalité de tous les instants. Par cet aspect, la démarche du groupe est comparable à celle de Lamb Of God, dont on sent clairement l'influence dans la construciton des morceaux. La production correspond parfaitement à cet état d'esprit : le son est énorme, mais sans fioritures, sans artifices : tout est axé autour de la musique, à l'instar des riffs mélodiques inoubliable qui rappellent les meilleures heures de Heaven Shall Burn. Au final, l'album relève haut la main le pari difficile de faire un album qui ne se plie pas aux modes, et qui est à la fois mature, efficace et bien pensé. Pour une auto-prod, ça tient de l'exploit !
Ecoutez l'album dans son intégralité ici :
Et découvrez leur tout nouveau clip ici (qui est terrible, mais le premier était mieux ;-)
Bury Them All: Cut my Hands from Aberis sarl on Vimeo.
Death : "The Philosopher"
C'est avec ce morceau que j'ai découvert Death, il y a bien longtemps de ça ! Du coup, Individual Thought Patterns reste mon album préféré du groupe, qui ressort ces jours-ci en version remixée/remasterisée, ce qui vaut un lifting au clip aussi du coup...
lundi 21 novembre 2011
dimanche 20 novembre 2011
Fuck you ! We're from Belgium !
Depuis que le petit dernier est là, sortir de chez moi est devenu une expédition digne de la conquête des Indes. Le travail de planification que me demande le simple fait de vouloir sortir boire un godet rend la tâche presque insurmontable. Faisez des enfants, qu'y disaient. Du coup, je sors beaucoup beauuuuuuuuuuuucoup moins, ce qui n'a pas que des avantages, si ce n'est celui de vraiment apprécier les fois où effectivement, je peux sortir comme quand j'étais jeune.
Le Liège Metal Fest, premier du nom, est donc l'endroit où je me suis rendu hier, principalement parce que c'était l'annif de la moitié de Spitdown, et que Angel Crew assurait la tête d'affiche, pour la toute dernière fois avec Ross. Arrivé à 17h (ça commençait à 12h30 !), j'ai donc raté les prestations de Baraka, Slaughtery, We Came Bearing Arms et Last Breath Messiah pour directement entrer dans le vif du sujet avec Spitdown dont le show commence à peine quelques minutes après mon entrée dans la salle. Difficile d'être objectif quand mes amis jouent dans le groupe, mais bon, ça tue quoi... Depuis l'arrivée de Séba au chant, leur set a encore gagné en efficacité et professionnalisme, et ils continuent à s'améliorer de fois en fois, à l'instar des nouvelles compos hyper-prometteuses, qui sont plus directes et rentre dedans, tout en fourmillant de brillantes idées d'arrangement qui ne laissent jamais tomber le groupe dans la facilité. Une fois de plus, un tout bon concert de Spitdown. Je n'ai vu que la fin de Stand For Truth, qui m'avait l'air bien carré et super en place, No Brain proposait un hardcore simple et efficace, même si un peu flottillant par moments, The Crazy Motherfuckers From Hell ont le meilleur hoodie que j'aie jamais acheté de ma vie, et leur hardcore simple et efficace est la BO parfaite de la bonne humeur et de l'esprit festif et bon enfant du groupe montois.
Entre-temps, on a aussi appris que finalement, Ross ne sera pas là ce soir, et qu'Angel Crew jouera donc amputé à la fois d'un guitariste et du meilleur chanteur que la terre ait jamais porté. Chapeau bas au groupe d'avoir assuré, malgré l'absence d'un tel pilier du groupe, un show pro, propre et carré, le guitariste restant n'hésitant pas une seconde à prendre en charge les parties en chant clair, aidé par un public épars mais motivé, à l'instar de votre serviteur qui serait bien monté sur scène pour épauler le Crew sur Bring Down The World et Break Through, sauf que j'ai pas osé... Déçu donc par l'absence de Ross, mais ravi par la motivation du groupe à assurer le show malgré tout. La soirée se clôture avec Surge Of Fury, que je n'avais plus vu depuis des années, et qui reste une valeur sûre de niveau international en matière de hardcore boogie down droit dans ta gueule, très à l'aise à la maison, et un Tito en grande forme et hilarant de bout en bout. Dommage que la soirée se soit terminée en demi-teinte avec du matos "égaré" et un public peu nombreux, reste à espérer que les prochaines éditions seront plus peuplées, ce qui ne devrait pas manquer d'arriver si le groupe que l'organisateur a contacté pour la prochaine édition répond présent !
Photos : Joel Bernacki
DeathDestruction : "Mark My Words"
Même s'il n'est pas sans défaut, l'album de Deathdestruction se défend pas mal et est efficace, à défaut d'être original, un peu à l'image de ce clip.
Deathdestruction - Mark my words from Jakob Arevärn on Vimeo.
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