samedi 26 septembre 2009

For.

Petite réponse à VinZ histoire d'avoir les deux sons de cloche.

Tu étais démasqué depuis longtemps l'ami, tu es le No-Man de ce blog depuis que tu le fréquentes ;-). Je voulais te répondre en commentant ton post, mais je vais plutôt faire un vrai post et répondre à tes arguments point par point. (Sorry pour ceux que ça n'intéresse pas)
  1. Mais non, personne n'a oublié la CdV, moi il m'arrive même de relire les archives que tu m'avais envoyé. Cela dit, je ne voulais pas instaurer de "règle" et obliger qui que ce soit à noter les albums en publiant le sondage. Si ça t'emmerde, ne le fais pas, y a pas de règles ici, si tu veux poster tes photos de vacances, libre à toi. 
  2. Je trouve qu'au contraire, discuter du bien fondé ou pas d'une note ou l'autre amènera un peu plus d'eau au moulin aux débats que j'adore avoir, ici ou ailleurs, j'en veux pour preuve notre éternel combat concernant Slayer. On va pas non plus se mettre sur la gueule pour un demi point, on est des barbares responsables quand même, non ?
  3. Ton argument se tient, mais en ce qui me concerne, je ne fais pas de chroniques d'album pour éduquer les lecteurs. ça me sert juste à donner mon avis. Après, si les gens le lisent pas parce que la note leur suffit, c'est pas mon problème. Déjà qu'on est 15 à lire ces lignes, je vais pas en plus exiger qu'on lise tout. D'ailleurs, comme je l'ai dit plus haut, j'exige rien de personne.
  4. Ok, mais dans ce cas là, pourquoi faire un top ? En quoi est ce que mettre la même note à deux albums qui n'ont rien à voir est différent de les classer l'un par rapport à l'autre ? Dans mon top 2009 y aura du grind et de la country... Et ne viens pas remettre en question le top hein malheureux !! C'est toute ma vie moi ce top !!!!
  5. J'ai pas tout compris, mais y a rien d'absolu dans ce qu'on fait ici. Une note, c'est juste une façon rapide de donner un avis. 10/10 :  j'aime bien. 0/10 : j'aime pas. Je cherche pas de vérité mathématique là dedans. Si on garde la simplicité du "j'aime bien"/"j'aime pas", noter les albums permet simplement de nuancer ces deux affirmations. J'ai mis des notes à toutes les sorties 2009 (j'en ai 140 pour le moment), ça m'a pris 10 minutes, et ça m'a aidé à remettre de l'ordre dans mon top.
En conclusion, je pense qu'on est pas au SPF Metal ici, et que je suis pas le ministre de la musique (si je l'étais, il faudrait en même temps réinstaurer la peine de mort rien que pour Lady Gaga). J'aime bien penser à ce blog comme un espace de détente et de liberté, ou chacun vient dire ce qu'il veut, comme il le veut. C'est comme ça que je le pensais quand j'étais tout seul à remplir ses pages, et je ne les ai pas ouvertes à qui veut pour qu'ils appliquent mes règles, d'autant que j'en ai pas. Bref VinZ, détends toi la couille, tu vas pas être obligé de mettre des points à tes chroniques (surtout qu'on les attend hein tes chroniques !!!), tu fais ce que tu veux, tu es ici chez toi, enlève tes pompes et sers toi dans le frigo. Par contre, vu le score du sondage, je pense que je vais quand même tenter de publier les scores des albums que je chronique, tant que ça m'amuse. Et le jour où ça m'amuse plus, ben j'arrêterai de mettre des points. Je suis chez moi, je fais ce que je veux :-)

vendredi 25 septembre 2009

Against.

Bon okay je me découvre, c'est moi qui ai voté NON au petit référendum du Butt. Je ne collerai PAS (plus) de note à aucune chronique. Il y a plein de raisons pour cela mais les principales sont les suivantes.
  1. Le dilemme existentiel. Dans une autre vie, je pondais des chroniques sur un site aujourd'hui oublié et, snif, croyez-moi, sob, je me suis plus d'une fois torturé l'esprit en me demandant quelle serait la plus juste note à attribuer à tel ou tel album. A tel point que la réflexion en vient à éclipser le travail de rédaction de ladite chronique. Perte de temps.
  2. L'entente cordiale. Je vous connais, dès qu'une note sera pondue en bas (ou en haut) d'une chronique, ce sera le début de moult palabres plus stériles les uns que les autres, genre "Ouaaah tu déconnes, cette galette mérite au moins 7,5 et pas les malheureux 7 que tu lui as concédés..." Perte d'énergie.
  3. Le raccourci réducteur. Je lis quantité de chroniques, pas seulement dans le domaine qui nous occupe, et chaque fois qu'une note est attribuée, j'ai la tentation de zapper le développement pour ne m'en référer qu'à la note. Vilain réflexe qui décourage le lecteur à ouvrir son esprit et tenter de comprendre ce qui constitue le fil d'Ariane de la chronique elle-même. On en vient ainsi à faire aveuglément confiance au verdict final, sans pour autant savoir si les arguments développés sont valables ou au contraire fallacieux.
  4. L'échelle relative. Au moins deux des désagréments évoqués ci-dessus sont causés par la vacuité d'une échelle relative dans ce genre de débat. La plupart du temps, on ne compare pas des pommes avec des pommes. Par exemple, donner une note excellente à un album de Tool, et une autre note non moins excellente à un album de Brutal Truth, ne peut décemment pas mettre les deux sur un pied d'équivalence. Ils sont certes tous deux excellents, mais chacun dans leur catégorie. Dans le même ordre d'idées, ne comparez pas un meal number 4 du Burger King avec un velouté aux truffes. On se délecte de tous les deux, mais pas vraiment dans les même conditions.
  5. L'échelle absolue. A contrario, si l'on voulait établir une comparaison absolue, il faudrait adopter une échelle avec autant de graduations qu'il n'existe d'albums différents. Concept futile s'il en est, d'autant plus que l'échelle en question devrait sans cesse changer avec l'apparition de nouvelles réalisations, de sorte que sa borne maximale tendrait vers l'infini, comme disait mon prof d'analyse fonctionnelle.

Bref si après tout ça vous n'avez pas compris ma position, il ne me reste qu'à prier pour vos âmes de pauvres pêcheurs, et espérer que notre Seigneur vous ait en sa Sainte garde malgré vos vils penchants pour d'aussi abjectes conceptions.

jeudi 24 septembre 2009

Les sorties de la semaine

Je rassemble des idées pour pondre une belle chronique d'Alice In Chains, mais je ne la publierai pas avant de l'avoir eu entre les mains, histoire de pouvoir parler un peu du packaging. En attendant, petites pensées sur les quelques disques que j'ai entendu entretemps.
  • Paradise Lost : "Faith Divides Us - Death Unites Us"
    Sur les judicieux conseils de Phil (pas toi, l'autre), j'ai jeté une oreille attentive sur le nouveau Paradise Lost. Je n'ai jamais été très fan du groupe, même pas à l'époque de As I Die, quand ça pettait bien et tout ça, et leur évolution vers la new wave me laissait au mieux perplexe, au pire indifférent. Malgré tout, j'ai toujours eu beaucoup de respect pour le groupe, comme c'est souvent le cas avec les gens qui savent se réinventer et prendre des risques. Juste, ça ne me touchait pas. Mais là, il faut bien reconnaître que cet album m'a quand même bien laissé sur le cul ! Déjà, aux chiottes le son à la Depeche Mode, Paradise Lost est redevenu un groupe de Metal à part entière, il n'y a aucun doute là dessus. Et vachement inspiré par dessus le marché. Il n'y a rien à jeter sur cet album, on ne s'ennuie pas une seconde, et pourtant je ne suis pas excessivement fan du côté gothique dépressif. Mais là, qu'importe ! Les compos sont d'une qualité impressionnante, la production est étincelante, et le groupe se balade avec une aisance inhumaine entre des passages lourdingues et Metal à souhait et des envolées mélodiques du plus bel effet. Je ne connais pas assez la discographie du groupe pour affirmer qu'il s'agit là de leur meilleur album, mais en tout cas, c'est de LOIN le meilleur que j'aie entendu... Merci Phil !!
  • Revocation : "Existence Is Futile"
    Pratiquant un thrash/death technique et inspiré, Revocation renvoie directement au dessus du panier de ce qui se fait dans le genre. Le son est limpide, les compos (mention particulière aux solos) ultra riches (voire progressives par moment), parfaitement exécutées et maîtrisées. Ce qui manque à ce groupe, c'est un côté un peu plus catchy qui rendrait leurs morceaux mémorables. Parce qu'à l'écoute, on se dit "wow", mais dès que c'est fini, on se rend compte qu'on a rien retenu. Dommage, mais ça reste un groupe à suivre, ils pourraient bien créer la surprise à l'avenir.
  • Kiss : "Sonic Boom"
    J'aurais adoré être soufflé par le nouvel album de Kiss. Que le retour aux sources promis soit une totale réussite, et pas un argument commercial. Malheureusement, si on ne peut honnêtement pas dire qu'il soit mauvais, le Kiss version 2009 sonne beaucoup trop comme un groupe de has been qui essaye tant bien que mal de faire revivre leur gloire passée en tentant de faire exactement la même chose qu'il y a 30 ans. C'est d'autant plus pathétique que personne ne leur avait rien demandé, et s'ils s'étaient contenté de faire le tour du monde en rejouant les vieux boquets comme l'année dernière, tout le monde aurait été content. D'autant que le line-up actuel n'a rien à envier à l'original, que Paul Stanley est au sommet de sa forme (même si beaucoup moins créatif que sur son dernier album solo) -contrairement à Gene Simmons, qui est complètement à la ramasse-, que les compos se laissent écouter, pour la plupart, avec sympathie. Mais il n'y a pas l'ombre d'un futur classique, apte à détrôner les hymnes qui ponctuent leur discographie. Résultat des courses : ils finiront par ne plus jouer aucun morceau de cet album, et se contenter de se reposer sur leurs tubes légendaires. C'est sans doute pas plus mal. Reste un album certes meilleur que le précédent, mais qui est loin d'être inoubliable.
  • Muse : "The Resistance"
    Bon, c'est un peu beaucoup la totale honte, mais la chronique que j'ai fait du nouveau Muse il y a quelques semaines était basée sur une version bidon de l'album (c'est un groupe qui ressemble vachement à Muse), et je me suis fait avoir comme un bleu. My bad, ça m'apprendra à être impatient et ne pas savoir attendre que le disque atteigne les rayons de mon disquaire préféré. La bonne nouvelle, c'est que le "vrai" album est bien meilleur que la pale copie, que Muse se laisse aller à ses penchants symphoniques et que c'est super impressionnant. Quand je dis symphonique, ça veut pas dire que Matt Bellamy porte une robe gothique et chante comme la Castafiore hein (quoique...), on ne parle pas de Nightwish ou Within Temptation, mais bien de musique. Symphonique, ça veut dire que le groupe a recruté un orchestre symphonique (40 instruments si je ne m'abuse) pour les faire jouer la musique qu'ils ont composé, et ça sonne comme du putain de Mozart !!! J'exagère un peu, et ce n'est certes pas le genre de trucs que j'écouterai tous les jours, mais c'est super impressionnant de se rendre compte qu'un groupe de rock a les capacités techniques et la connaissance musicale nécessaire pour composer une pièce comme celle ci. Cela étant dit, il faut quand même être fan pour tout écouter d'une traite, ce qui n'est pas mon cas, mais ça ne m'empêche pas de souligner l'effort. Et en termes d'efforts, Matt Bellamy atteint quand même ici le grade de génie créatif, qu'on aime ou pas...

GOJIRA : "The Heaviest Matter Of The Universe" (Live)

Je reconnais volontiers que je ne suis pas autant fan de Gojira que VinZ ou Ercan. Même si je m'incline devant autant de talent et de créativité, je ne suis pas hyper sensible à ce style de musique. N'empêche, quand je vois des prestations comme celles-ci, je me dis quand même que je ferais bien l'effort d'aller les voir sur scène à l'occasion, parce que c'est quand même vaaaachement impressionnant.

mercredi 23 septembre 2009

Iron Maiden - Wasted Years (playback)

Hier, je me suis écroulé de rire devant la vidéo de Muse ridiculisant une émission de TV italienne en intervertissant leurs rôles sur scène. Comme d'habitude, MetalSucks m'a pompé l'info, et le monde a pu en profiter, et faire remarquer que certes, c'était drôle, mais ça avait déjà été fait avant. Moi je connaissais Nirvana qui surjoue le playback à fond, Slipknot qui joue (sic) à la place du Wait And Bleed prévu devant un plateau de Nulle Part Ailleurs qui se demande ce qui lui arrive (c'était en 99, aux débuts du groupe), et si ça se trouve, la scène du film d'Oliver Stone sur les Doors où on les voit faire de même est inspirée de la réalité, j'en sais rien (et je m'en bats les couilles, je DETESTE les Doors !!!!). Mais celle-ci, qui date de 86 et qui voit Maiden bien s'amuser en s'échangeant leurs instruments pendant leur playback, je ne la connaissais pas. Elle est bien drôle aussi, même si ma préférée reste celle de Muse, sans doute à cause du 2ème effet Kiss Cool où la présentatrice (et le public, et la régie, et les produccteurs, kéén bande...) ne se rend compte de rien et fait son interview bidon avec tout le professionnalisme des présentatrices de la télé italienne qui, comme chacun sait, ne sont pas uniquement engagées parce qu'elles ont eu des beaux points en journalisme à l'école....


mardi 22 septembre 2009

Marty Friedman

Peu d'entre nous le savent, mais Marty Friedman, guitariste historique de Megadeth, a complètement abandonné le metal, pour se consacrer à son autre passion : le Japon. Il y vit, y enregistre des albums pour des groupes pop très connus là bas, y anime une émission télé, etc. Autant dire qu'il n'a plus rien à voir avec le type responsable des solos de Rust In Peace et Countdown To Extinction.
Ce qu'on sait encore moins, c'est qu'au delà de la guitare, Marty est aussi un excellent bassiste, le genre funky qui slappe sa race, comme en témoigne ce document :


Muse en playback !!

Le dernier Muse m'a laissé dans une indifférence crasse. Pas que ce soit mauvais, mais contrairement au début des années 2000 où j'étais fan, ce groupe ne me parle plus du tout. Sauf que là, je viens de tomber sur la vidéo ci-dessous. Invités sur le plateau d'une émission de foot (!!) italienne, ils doivent jouer leur dernier single en playback, et pour protester, inversent les rôles : le batteur à la basse et au chant, le bassiste à la guitare et au clavier, et le chanteur derrière les fûts pour une prestation digne de Tommy Lee !!! S'il n'y avait eu que ça, ça aurait déjà été très drôle, mais il faut voir la suite. Après la chanson, la présentatrice vient interviewer le chanteur, et comme cette gourde ne s'est évidemment rendu compte de rien, c'est le batteur qui continue à faire semblant d'être le chanteur, avec un sourire en coin, allant même jusqu'à parler de Matt, leur batteur.
Je trouve ça tellement drôle et excellent que j'en donnerais presque une deuxième chance à leur dernier album tiens.


Rob FUCKING Zombie !!!!!!!!!!!!

Depuis qu'il est devenu un réalisateur de films d'horreur adulé, je vois que plein de gens OSENT critiquer le pourtant intouchable Rob Zombie. Pourtant, il a toujours la même manière de faire, il est toujours fan des mêmes choses, bref, la seule chose qui a changé, c'est son succès. C'est lourd, mais moi je ne suis pas comme ça, et je le trouve toujours aussi cool qu'avant. Je me réjouis super fort de voir son Halloween 2, et il paraît qu'il s'attelle à remaker le classique The Blob, et je me réjouis de voir ce qu'il va en faire. En attendant, il sort un nouvel album !!!! Et pas n'importe lequel, puisqu'on sait depuis quelques jours que son titre est : "Hellbilly Deluxe 2: Noble Jackals, Penny Dreadfuls and the Systematic Dehumanization of Cool". C'est long, mais ça commence par HELLBILLY DELUXE 2 !!! Certes, j'aime bien quand un musicien va de l'avant et ne se répète pas, surtout quand c'est pour répéter son plus grand succès, mais je lui fais confiance, je pense que Rob Zombie, au même titre que Metallica (ouais, je vous emmerde), est parfaitement capable d'effectuer un retour aux sources sans pour autant refaire ce qu'il a déjà fait. Reste que le track listing est bien old school, et que la pochette déchire la race à sa maman zombie !! ça sort le 10 novembre youhou !!

01. Jesus Frankenstein
02. Sick Bubble-Gun
03. What?
04. Mars Needs Women
05. Werewolf, Baby
06. Virgin Witch
07. Dream Factory
08. Burn
09. Cease to Exist
10. Werewolf Women of the SS
11. The Man Who Laughs

http://www.roadrunnerrecords.com/blabbermouth.net/reviewpics/HD2cover.jpg

dimanche 20 septembre 2009

Le con du jour

Je ne suis pas dupe, je sais que la toute grande majorité des visiteurs de ces pages me connaissent personnellement. Seulement voilà, les recherches Google étant ce qu'elles sont, il arrive qu'un inconnu vienne se perdre céans, et je me doute bien qu'il doit parfois se demander si j'ai toutes mes billes. Parfois c'est sympa, genre David, un canadien venu partager ses découvertes avec nous, et d'autres fois c'est, euh, disons rigolo, avec un tout bel anonyme qui réagit à une fournée de chroniques d'albums. Je cite le gaillard :
tu devrais clairement remettre des gouts en question toi qui critique otep et all shal perish sans avoir jamais fait de zik ;)
Je me marre... Dis-moi l'anonyme, si je postule comme bassiste des Kerbcrawlers, j'ai le droit de dire du mal ? Ou bien il faut être Mike Portnoy direct ?

Le chanteur de la semaine : Dax Riggs

Ce dimanche, sieste collégiale de ma chère et tendre et de l'héritier aidant, j'ai redécouvert Acid Bath, que je n'avais plus écouté depuis les années 90 où j'avais loué un de leurs albums à la Médiathèque, si mes souvenirs sont exacts. Bref, pour une raison que j'ignore, je pensais que c'était un groupe de thrash punk rigolo (je devais confondre avec Acid Drinkers, ou alors Acid Reign, je sais plus), mais pas du tout, puisqu'on est plutôt dans la catégorie du gros sludge métallique poisseux, qu'ils appelaient eux même "death rock" à l'époque. Et c'est vachement bien en fait, écoutez plutôt :



Un truc qui m'a soufflé à la réécoute de ceci, c'est la voix du chanteur, que je trouve juste à tomber par terre en arrachant la pelouse. J'ai donc poussé l'investigation, et ledit chanteur s'appelle Dax Riggs, et après Acid Bath, il a formé Agents Of Oblivion, responsables d'un unique album qui est à tomber le cul par terre en arrachant les cailloux du sol. Le style est beaucoup plus calme et posé, avec des guitares acoustiques et du piano à foison (et un gros riff à l'occasion quand même), mais écoutez plutôt :



Jamais satisfait, le reste de mon enquête me mène à son projet solo, dont le premier album date de 2007 (We Sing Of Only Blood Or Love) et me donne envie d'envoyer chier Mississauga en leur disant : "I'm going SOLO !!!" (pour rire hein...)
Voici le premier morceau dudit album en version live :



Bref, je suis fier de moi, j'ai pas perdu mon dimanche, et pourtant chuis crevé et j'ai mal au bide. Allez donc découvrir tout ça et donnez moi votre avis...