...donne tout son sens au titre du dernier album dudit groupe...
Je précise qu'il s'agit de la taille "S"...
\m/
mercredi 22 avril 2009
La playlist de la semaine : The Heaviest Playlist of The Universe
Le nouveau Black Sabbath m'a surpris par la lourdeur de ses riffs... En, même temps, il s'agit de Black Sabbath, les inventeurs du riff gras et lourd, donc c'est finalement assez logique... En tout cas, ça m'a donné envie de concocter une playlist avec ce que le monde a fait de plus lourdingue ces 40 dernières années... Après la moyenne de 350 bpm de la dernière playlist, on devrait ici retomber aux alentours de 12 bpm...
- Heaven & Hell : "Atom & Evil" (sur "The Devil You Know" - 2009)
C'est le morceau d'ouverture du nouveau Sabbath, celui-là même qui m'a donné l'idée de cette playlist. - Black Sabbath : "Electric Funeral" (sur "Paranoid" - 1971)
Certainement le morceau le plus lourd, gras et hopeless de Sabbath si on excepte l'éponyme évidemment, mais je ne voulais pas tomber dans la facilité. - Crowbar : "To Carry The Load" (sur "Odd Fellows Rest" - 1998)
Les empereurs du genre !! Impossible de passer à côté d'eux sur une compile du genre... D'ailleurs impossible de n'en choisir qu'une tant leur discographie est à elle seule la playlist la plus heavy du monde... - Down : "Bury Me In Smoke" (sur "NOLA" - 1995)
Même si Down va souvent puiser dans le caractère plus groovy du stoner, ils peuvent délivrer du gros riff (Kirk n'y étant évidemment pas étranger...), et ce morceau en est sans doute le meilleur exemple. - Alice In Chains : "Junkhead" (sur "Dirt" - 1992)
Il ne faut pas oublier que toute une frange du grunge est dans la droite lignée Sabbathienne, c'est bien joli les chanteurs morts et les unplugged tout ça, mais AIC c'est avant tout "Dirt" et son énorme son. - Soundgarden : "Gun" (sur "Louder Than Love" - 1989)
Il est partout notre ami Chris Cornell... Avant de shaker son booty et de kiffer des biatch au volant de lowriders pimpés par XZibit, il était au volant de Soundgarden, et leur injustement méconnu 2ème album contient des morceaux lourdingues... - Type O Negative : "Summer Breeze" (sur "Bloody Kisses" - 1993)
Pas besoin de commentaires pour ce groupe évident sur une telle compile... - Danzig : "Godless" (sur "Danzig III : How The God Kills" - 1992)
Ce morceau a été un des premiers morceaux au tempo super lent que j'ai jamais entendu, j'en garde des frissons... - Length Of Time : "A Devil In A Modern World" (sur "Approach To The New World" - 1997)
Comme quoi y faut pas forcément venir du fin fond du bayou pour faire des morceaux d'une lourdeur à décoller la rétine... LOT est un des meilleurs groupe issus de notre beau royaume, si pas le meilleur (ouais, même devant Channel, fallait pas splitter voilà). Le tempo est souvent rapide, mais quand ils ralentissent, ça donne envie de décaper un four avec la tête d'un chiot. - Chimaira : "Everything You Love" (sur "Chimaira" - 2005)
Sur leur 3ème (et meilleur) album, se trouve ce morceau incoryable... Tellement lourd que la plupart des gens à qui je le fais écouter meurent en saignant des gencives... - Set The Tone : "Dirty Jeans On" (sur "Set The Tone vs. Es La Guerilla" - 2005)
Quand je disais qu'il fallait pas aller loin... Ce morceau du groupe liégeois est celui que je préfère, principalement à cause d'un chanteur invité dont le nom m'échappe mais qui délivre une ligne de chant magistrale. - Alice In Chains : "Dirt" (sur "Dirt" - 1992)
Deuxième incontournable de la lourdeur sur l'album mythique du groupe. - Soundgarden : "I Awake" (sur "Louder Than Love" - 1989)
Quand je serai grand, je veux être Chris Cornell, mais quand il était jeune... - Length Of Time : "Losing My Heaven" (sur "How Good The World Could Be... Again - 2000)
Ce morceau est aussi à ajouter à la playlist sans fin des "orgasmes auditifs" de VinZ, pour son intro qui donne envie de retourner un pneu de tracteur à mains nues. - Crowbar : "Planets Collide" (sur "Odd Fellows Rest" - 1998)
J'aurais pu choisir un morceau d'un autre album pour la 2ème salve de Crowbar qui clôture cette playlist, mais y a rien à faire, ça reste mon album préféré des gros...
Voilà, je reconnais que je ne suis pas le plus fin spécialiste du genre, mais je ne demande qu'à élargir mes horizons de lourditude, donc si vous avez des suggestions allez y hein... Enfin tant que ça reste dans la mesure de l'audible pcq les groupes de "doom-drone-chépakoi-core-ouskya-un-coup-de-caisse-claire-tous-les...-euh...-ah-ben-y-en-a-qu'un-?-Bizarre-pourtant-le-morceau-fait-87-minutes...", très peu pour moi...
mardi 21 avril 2009
Gojira à la Rockhal (17/4/09) -- La nuit des grenouilles
Et donc voilà que le VinZ s'y colle encore, tout simplement parce qu'il est entouré d'un tas de FEIGNASSES dont l'inspiration frise la vacuité qui caractérise l'espace entre les oreilles d'Arielle Dombasle. La prochaine fois, je me ferai mieux entourer, c'est moi qui vous le dis. Même d'Arielle Dombasle, en l'occurrence, elle au moins a des nichons.
ANYWAY. L'affiche annonçant Treponem Pal et Dagoba avant nos idoles gojiriennes, nous avons trainé de manière un peu coupable derrière quelques "Monster Burgers" (sic) dans un boui-boui local. Mal nous en a pris, puisque arrivés un quart d'heure après le début programmé des réjouissances, nous n'avons pu qu'assister à la fin du set de Dagoba. (D'après Phil, Treponem Pal a carrément snobé la date pour cause d'audience trop modeste -- laissons donc ces individus à leur harassante tournée des stades et souhaitons-leur cordialement d'aller se faire enculer par des taureaux syphilitiques.)
Durant les trois ou quatre chansons qui cloturaient le set, Dagoba n'a pas semblé s'attarder sur le dernier album. On ne saura donc pas encore si c'est une bonne ou une mauvaise chose, dans la mesure où le mixage de Face The Colossus relève du charcutage innommable, et il eut été intéressant d'entendre l'un ou l'autre des morceaux en concert pour se faire une idée. Ceci dit, le son dont ils ont bénéficié à la Rockhal était très inégal et comme d'habitude dominé par la grosse caisse (aucune trace audible de la basse par exemple), donc c'était peut-être mieux ainsi. Ils nous ont tout de même fait bien rire en déclarant que "Ong s'appelleuh Dagoba, ong vient de Marseilleuh et ong veut voir ung putaing de circleuh piteuh dang cetteuh salleuh."
Lorsque Gojira attaque ses premières notes, l'inquiétude quant au sort réservé à leur son se dissipe totalement. Sonorités très claires, instruments bien dissociés, et volume tout à fait raisonnable. Cela ne faisait que trois fois que je pouvais les voir, et cette fois fut certainement la plus réussie, tant sur le plan son que pour le show en tant que tel. Après quatre albums et le travail en tournée, la setlist a un potentiel alléchant, mais le groupe se focalise en grande partie sur les deux dernières plaques. Le jeu, quant à lui, est aussi fluide que précis... à tel point que lorsque Mario Duplantier casse un stick et le balance en l'air, il retombe sur une cymbale (authentique !)... un autre stick a failli causer une péritonite à Ercan lorsque celui-ci, en fin de concert, a effectué un plongeon digne de Van Der Sar pour s'en saisir, alors que Mario distribuait ses "cadavres".
Joe et ses comparses ont régalé l'audience avec les mammouths soniques habituels : Oroborus qui est désormais l'intro attitrée de chaque live, From The Sky, Flying Whales, un Backbone à vous extraire les molaires par l'anus, Love (seul morceau de Terra Incognita), The Art Of Dying... j'aurai personnellement regretté l'oblitération de The Link, en tout cas je n'ai aucun souvenir d'un morceau de cet album. En particulier, je me faisais une joie sauvage de me démonter l'occiput sur Remembrance, mais schnol.
Pour faire classe et multimédia, j'inclus une pix perso (où on voit les gros doigts boudinés de Phil, en haut à droite) ainsi qu'une vidéo d'un certain derris57, dont la playlist est facilement dénichable sur YouTube, mais comme je suis entouré de FEIGNASSES, je vous libère de l'effort exténuant que cette recherche représente, donc la voilà.
Pour cloturer, je voulais mentionner que nous avons croisé le chemin d'une demi-folle qui avait le logo de Channel Zero tatoué sur le mollet droit, et qui prétendait que Franky et ses ex-collègues allaient se rassembler pour un concert au Sportpaleis d'ici quelques mois... malgré nos moues dubitatives, il faut avouer qu'elle avait remué des choses enterrées depuis moult années dans nos tripes... info ou intox, wait and see.
\V
ANYWAY. L'affiche annonçant Treponem Pal et Dagoba avant nos idoles gojiriennes, nous avons trainé de manière un peu coupable derrière quelques "Monster Burgers" (sic) dans un boui-boui local. Mal nous en a pris, puisque arrivés un quart d'heure après le début programmé des réjouissances, nous n'avons pu qu'assister à la fin du set de Dagoba. (D'après Phil, Treponem Pal a carrément snobé la date pour cause d'audience trop modeste -- laissons donc ces individus à leur harassante tournée des stades et souhaitons-leur cordialement d'aller se faire enculer par des taureaux syphilitiques.)
Durant les trois ou quatre chansons qui cloturaient le set, Dagoba n'a pas semblé s'attarder sur le dernier album. On ne saura donc pas encore si c'est une bonne ou une mauvaise chose, dans la mesure où le mixage de Face The Colossus relève du charcutage innommable, et il eut été intéressant d'entendre l'un ou l'autre des morceaux en concert pour se faire une idée. Ceci dit, le son dont ils ont bénéficié à la Rockhal était très inégal et comme d'habitude dominé par la grosse caisse (aucune trace audible de la basse par exemple), donc c'était peut-être mieux ainsi. Ils nous ont tout de même fait bien rire en déclarant que "Ong s'appelleuh Dagoba, ong vient de Marseilleuh et ong veut voir ung putaing de circleuh piteuh dang cetteuh salleuh."
Lorsque Gojira attaque ses premières notes, l'inquiétude quant au sort réservé à leur son se dissipe totalement. Sonorités très claires, instruments bien dissociés, et volume tout à fait raisonnable. Cela ne faisait que trois fois que je pouvais les voir, et cette fois fut certainement la plus réussie, tant sur le plan son que pour le show en tant que tel. Après quatre albums et le travail en tournée, la setlist a un potentiel alléchant, mais le groupe se focalise en grande partie sur les deux dernières plaques. Le jeu, quant à lui, est aussi fluide que précis... à tel point que lorsque Mario Duplantier casse un stick et le balance en l'air, il retombe sur une cymbale (authentique !)... un autre stick a failli causer une péritonite à Ercan lorsque celui-ci, en fin de concert, a effectué un plongeon digne de Van Der Sar pour s'en saisir, alors que Mario distribuait ses "cadavres".
Joe et ses comparses ont régalé l'audience avec les mammouths soniques habituels : Oroborus qui est désormais l'intro attitrée de chaque live, From The Sky, Flying Whales, un Backbone à vous extraire les molaires par l'anus, Love (seul morceau de Terra Incognita), The Art Of Dying... j'aurai personnellement regretté l'oblitération de The Link, en tout cas je n'ai aucun souvenir d'un morceau de cet album. En particulier, je me faisais une joie sauvage de me démonter l'occiput sur Remembrance, mais schnol.
Pour faire classe et multimédia, j'inclus une pix perso (où on voit les gros doigts boudinés de Phil, en haut à droite) ainsi qu'une vidéo d'un certain derris57, dont la playlist est facilement dénichable sur YouTube, mais comme je suis entouré de FEIGNASSES, je vous libère de l'effort exténuant que cette recherche représente, donc la voilà.
Pour cloturer, je voulais mentionner que nous avons croisé le chemin d'une demi-folle qui avait le logo de Channel Zero tatoué sur le mollet droit, et qui prétendait que Franky et ses ex-collègues allaient se rassembler pour un concert au Sportpaleis d'ici quelques mois... malgré nos moues dubitatives, il faut avouer qu'elle avait remué des choses enterrées depuis moult années dans nos tripes... info ou intox, wait and see.
\V
Le single de la semaine : Chris Cornell - "I Promise This Is Not Goodbye"
Chris Cornell est décidément un bien étrange personnage... Capable du pire comme du meilleur, je pensais qu'il avait définitivement touché le fond avec son dernier album, "Scream", qui détient toujours le titre peu envié d'album le plus pourri de tout l'univers.
Et quelques semaines après s'être fait descendre de manière unanime par l'ensemble de l'humanité pour cette purge infâme, vla-t-y pas qu'il revient avec une idée de génie sous forme d'un single un peu spécial, qui s'appelle donc "I Promise This Is Not Goodbye".
D'abord, il est inédit, et même si on sait ce qui est sorti de sa bouche il y a peu, par respect pour Soundgarden, on a envie d'être un peu curieux.
Ensuite, c'est gratos, et donc on va pas se priver de télécharger de la musique de manière légale et gratuite, c'est pas tous les jours non plus...
Puis, l'histoire du morceau tirerait des larmes à une cuisinière électrique, puisque les paroles ont été écrites par un type qui, après avoir perdu sa fille des suites d'un cancer, a appris qu'il était lui aussi atteint d'un cancer. Le morceau a été mis en musique par Cornell à la demande expresse dudit type. Alors certes c'est un peu neuneu (genre : "je vais mourir maman mais je t'aime quand même alors arrête de pleurer"), mais replacé dans son contexte, ça le fait.
Et enfin, le morceau est excellent... Ben oui, contre toute attente, c'est une magnifique balade à la Bob Dylan où Cornell parvient à ne pas en faire des méga tonnes...
Comme quoi tout est possible dans le monde magique du rock n'roll business... Cela dit, si Cornell doit se fournir chez les cancéreux, sidéens, lépreux et autres unijambistes pour lui écrire des chansons qui tiennent un minimum la route, il est pas sorti de l'auberge...
Ah oui au fait : la semaine dernière, j'ai dû abandonner mon chat à une famille d'accueil (mais elle va bien, thanx for asking), et j'ai écrit une chanson en son hommage... Chris, tu peux me faire gagner des milliards de dollars en chantant ma chanson sur ton prochain alboume siouplé ? Merci bien !
Sinon, le morceau est téléchargeable ici, en échange d'un étalage indécent de votre vie privée.
Et quelques semaines après s'être fait descendre de manière unanime par l'ensemble de l'humanité pour cette purge infâme, vla-t-y pas qu'il revient avec une idée de génie sous forme d'un single un peu spécial, qui s'appelle donc "I Promise This Is Not Goodbye".
D'abord, il est inédit, et même si on sait ce qui est sorti de sa bouche il y a peu, par respect pour Soundgarden, on a envie d'être un peu curieux.
Ensuite, c'est gratos, et donc on va pas se priver de télécharger de la musique de manière légale et gratuite, c'est pas tous les jours non plus...
Puis, l'histoire du morceau tirerait des larmes à une cuisinière électrique, puisque les paroles ont été écrites par un type qui, après avoir perdu sa fille des suites d'un cancer, a appris qu'il était lui aussi atteint d'un cancer. Le morceau a été mis en musique par Cornell à la demande expresse dudit type. Alors certes c'est un peu neuneu (genre : "je vais mourir maman mais je t'aime quand même alors arrête de pleurer"), mais replacé dans son contexte, ça le fait.
Et enfin, le morceau est excellent... Ben oui, contre toute attente, c'est une magnifique balade à la Bob Dylan où Cornell parvient à ne pas en faire des méga tonnes...
Comme quoi tout est possible dans le monde magique du rock n'roll business... Cela dit, si Cornell doit se fournir chez les cancéreux, sidéens, lépreux et autres unijambistes pour lui écrire des chansons qui tiennent un minimum la route, il est pas sorti de l'auberge...
Ah oui au fait : la semaine dernière, j'ai dû abandonner mon chat à une famille d'accueil (mais elle va bien, thanx for asking), et j'ai écrit une chanson en son hommage... Chris, tu peux me faire gagner des milliards de dollars en chantant ma chanson sur ton prochain alboume siouplé ? Merci bien !
Sinon, le morceau est téléchargeable ici, en échange d'un étalage indécent de votre vie privée.
lundi 20 avril 2009
L'Album de la Semaine : Heaven & Hell - The Devil You Know (2009)
Pour les inculques, "Heaven & Hell", c'est le titre d'un album de 1980, le premier enregistré par Black Sabbath après le départ d'Ozzy, et donc avec Ronnie James Dio au chant...
Et il faut bien le reconnaître, s'il y en avait un seul à l'époque capable de prendre la place du madman, c'est bien lui... S'ensuivit le non moins classique "The Mob Rules", après quoi Dio fut remplacé par plein de gens, puis il revient en 1992 le temps d'un "Dehumanizer" qui est bien mais pas top.
En 2006, après que la reformation du groupe dans son line up d'origine se soit terminée en eau de boudin (merci Sharon), Tony Iommi et Geezer Butler décident de reformer le 2e line up classique de Black Sabbath et réintègrent Dio (ainsi que Vinny Appice) le temps d'une tournée et d'un album live magistral ("Live Radio City Music Hall")... Une compile contenant 3 inédits plus tard ("The Dio Years"), les revoilà en studio pour donner un successeur à "Forbidden", dernière purge en date (1995 quand même)...
C'est ainsi que sort (enfin bientôt, c'est pour le 24), "The Devil You Know", et cet album est une pure TUERIE !!!! Les riffs sont gigantesquissimes, la production énooooOOOOOOorrme, Dio est en toute grande forme, la pochette est ce que j'ai vu de plus métal depuis un Deicide dont le nom m'échappe, et la plaque contient au moins 3 gigantesques tubes potentiels (le premier single "Bible Black", mais aussi "Atom & Evil" qui ouvre l'album et le grandiose "Follow The Tears"), quelques morceaux agréables ("Eating The Cannibals" (tchu j'aurais du y penser à ce titre goddammit !!), "The Turn of The Screw", "Rock & Roll Angel"), et un minimum de remplissage ("Double the Pain", "Neverwhere").
Bref, un tout grand classique, ce qui est assez étonnant quand on pense que Black Sabbath s'apprête à fêter les 40 (!!!!) ans de leur premier album éponyme, genre que même ACDC c'est des jeunots à côté !
Les papys du métal en ont encore à revendre, et ça fait du bien !!!
Ah oui, en cours de route, et conflits de management aidant (re-merci Sharon), le groupe s'est vu contraint de ne pas s'appeler Black Sabbath, mais bon c'est pareil hein...
dimanche 19 avril 2009
Le bon plan bouffe de la semaine : Cook Cooning
Et hop ! Une nouvelle rubrique pour le blog... Ben oui, après tout, y a pas que le rock n'roll dans la vie, y faut manger aussi, et il se trouve que manger fait partie de mes activités préférées... Et comme j'aime bien que mon entourage soit alimenté de manière agréable, je vais donc partager ici les bons plans que je trouve de ci de là. Pour ouvrir le bal, Cook Cooning... ce service présente plein d'avantages. Le premier, c'est qu'ils livrent les plats à domicile (en tout cas si vous habitez les quartiers des Guillemins, Fragnée, Cointe, Sclessin et ses environs). Le deuxième, c'est que plutôt que de livrer de la pizza pas bonne et à moitié froide quand elle arrive ou des nouilles collantes et goûtant l'eau de vaisselle, on a droit ici à une carte des plus alléchantes : Chili Con Carne, Bouillabaisse de poisson, Pot-au-feu, Pilons de poulet de grillé, et j'en passe... Le troisième avantage, c'est que c'est ultra bon (avec ma famille on a testé le chili, le minestrone et les pilons de poulet et c'est aussi bon qu'au resto, sans dec), et enfin, c'est pas trop cher... Bref, un super bon plan pour mes voisins qui aiment pas se déplacer mais qui aiment bien manger quand même... Toutes les coordonnées, ainsi que la carte, se trouve là...
Bon app!
P.S. : Les liens qui marchaient pas ont été changés, ça marche maintenant...
Bon app!
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