Je pensais avoir mis la main sur la plaque BDM (pour Brutal Death Metal) de l'année avec le dernier AOAA, The Reign Of Darkness.
Je m'étais trompé.
Il fallait s'y attendre depuis leur monumental The Vile Conception, ces ritals en ont dans le froc. Paradogma, le petit dernier, va être difficile à chroniquer. La raison en est simple : il va falloir trouver des métaphores encore plus barbares que pour l'AOAA, sinon on passe à côté de la chose.
En vrac, Paradogma c'est un peu adopter des bébés orphelins soudanais pour revendre leurs amygdales sur eBay ; disséquer vivant le chaton d'une gamine et lui envoyer la vidéo pour Noël ; faire croire à une mamie abandonnée qu'on va lui rendre visite pour son anniversaire et y aller pour lui offrir une corde ; envoyer un modèle réduit de navette spatiale aux familles des astronautes de Challenger, des tickets restau à une anorexique et des chaussures de marche à un tétraplégique. On voit un peu le genre? Alors il faut aussi écouter. Et vite.
Je m'étais trompé.
Il fallait s'y attendre depuis leur monumental The Vile Conception, ces ritals en ont dans le froc. Paradogma, le petit dernier, va être difficile à chroniquer. La raison en est simple : il va falloir trouver des métaphores encore plus barbares que pour l'AOAA, sinon on passe à côté de la chose.
En vrac, Paradogma c'est un peu adopter des bébés orphelins soudanais pour revendre leurs amygdales sur eBay ; disséquer vivant le chaton d'une gamine et lui envoyer la vidéo pour Noël ; faire croire à une mamie abandonnée qu'on va lui rendre visite pour son anniversaire et y aller pour lui offrir une corde ; envoyer un modèle réduit de navette spatiale aux familles des astronautes de Challenger, des tickets restau à une anorexique et des chaussures de marche à un tétraplégique. On voit un peu le genre? Alors il faut aussi écouter. Et vite.