Au final donc, un album en demi teinte, avec des compos à moitié sympa, des idées géniales (surtout dans les morceaux lents, Playing With Dolls en tête), mais des lourdeurs et des raccourcis faciles qui assomment l'ensemble et le rendent difficile à écouter en entier sans se dire pffffffffffffffffffffffft. Pas pire que God Hates Us All et Diabolus In Musica, mais pas très loin devant non plus. Cela étant dit, ça n'enlève rien à la qualité et au culte que je voue à ce que le groupe a fait entre 1983 et 1992, ce qui me mène à la deuxième façon de faire pour chroniquer cet album : SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
jeudi 29 octobre 2009
SLAYER : "World Painted Blood"
Au final donc, un album en demi teinte, avec des compos à moitié sympa, des idées géniales (surtout dans les morceaux lents, Playing With Dolls en tête), mais des lourdeurs et des raccourcis faciles qui assomment l'ensemble et le rendent difficile à écouter en entier sans se dire pffffffffffffffffffffffft. Pas pire que God Hates Us All et Diabolus In Musica, mais pas très loin devant non plus. Cela étant dit, ça n'enlève rien à la qualité et au culte que je voue à ce que le groupe a fait entre 1983 et 1992, ce qui me mène à la deuxième façon de faire pour chroniquer cet album : SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
C'est marrant à quel point tu m'ôtes les mots de la bouche, ou les mots du clavier...
RépondreSupprimerTu as bien fait de ne pas coter parce que ça aurait fait franchement mal. Il faut vraiment s'accrocher au concept SLAAAAYYEEEEEEEEEER pour arriver à écouter l'album jusqu'au bout sans s'endormir. On va se répéter mais les choses sont trop évidentes : le feu n'est plus là, les riffs/structures/ambiances/paroles/soli puent les frites réchauffées au micro-ondes, et j'en passe des pires... En gros, l'album pour ne pas trop être emmerdé par les pontes de la maison de disques réclamant un album.
Je me sens tout bizarre d'écrire tout ça sous la chronique d'un Slayer et à un mètre du flag noir à l'aigle pendant fièrement à mon mur. Faut s'y faire, Slayer appartient bien au passé et, par la même occasion, une partie de nous mêmes également... :-S
FRED DURST, SORS DU CORPS DE MON POTE ERCAN !! JE SAIS QU'IL N'EST PAS LUI-MEME EN CE MOMENT !!!
RépondreSupprimerOui, en même temps, moi j'aime bien le passé, au moins on n'a pas de mauvaises surprises. Et puis Slayer, ça va faire 20 ans qu'ils appartiennent au passé, donc je ne me sens pas séparé d'une partie de moi-même. Le fait de sortir des mauvais albums n'amoindrit pas le plaisir que j'ai à écouter ceux qui sont bien...
RépondreSupprimer