Aux abris. Aux abris bordel, parce qu'il y a du top album 2010 dans l'air...
Trois ans d'attente impatiente depuis An Ocean Between Us auront rarement été autant récompensés que par cet oxymoron de The Powerless Rise. Impuissante leur montée? Mon cul! Pas besoin de tourner autour du circle pit, on tient là la un disque d'exception dans le monde si surchargé de tout ce qui se termine par -core.
Metalcore? Thrashcore? Sincèrement, on s'en fout. Il fut une époque où on aurait appelé ça un prodigieux album de pur gros metal. C'est rapide, mélodique, ultra précis, magnifiquement exécuté, surpuissant et tout le saint Bataclan, comme dirait Quint dans Les Dents de la Mer. Pas de place à l'hésitation ni à l'expérimentation intello, on plonge ses couilles dans la mare aux crocodiles et on observe le résultat : un tsunami de riffs, de solos, de détours mélodiques, de breaks... C'est tout bonnement énorme. E-NORME, comme en Camargue.
Et depuis que je sais que Nick Hipa, gratteux au sein de ces bouchers, est à peu près aussi fan de Lost que moi, je ne peux m'empêcher de penser au nuage noir dès que les riffs fusent. Aux abris, je vous dis...
Trois ans d'attente impatiente depuis An Ocean Between Us auront rarement été autant récompensés que par cet oxymoron de The Powerless Rise. Impuissante leur montée? Mon cul! Pas besoin de tourner autour du circle pit, on tient là la un disque d'exception dans le monde si surchargé de tout ce qui se termine par -core.
Metalcore? Thrashcore? Sincèrement, on s'en fout. Il fut une époque où on aurait appelé ça un prodigieux album de pur gros metal. C'est rapide, mélodique, ultra précis, magnifiquement exécuté, surpuissant et tout le saint Bataclan, comme dirait Quint dans Les Dents de la Mer. Pas de place à l'hésitation ni à l'expérimentation intello, on plonge ses couilles dans la mare aux crocodiles et on observe le résultat : un tsunami de riffs, de solos, de détours mélodiques, de breaks... C'est tout bonnement énorme. E-NORME, comme en Camargue.
Et depuis que je sais que Nick Hipa, gratteux au sein de ces bouchers, est à peu près aussi fan de Lost que moi, je ne peux m'empêcher de penser au nuage noir dès que les riffs fusent. Aux abris, je vous dis...
Yes, de la bombe cet album !! Que j'écoute en boucle, encore et encore, avec ces riffs aussi mélodiques que dévastateurs qui restent en tête ... quelle réussite !
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