Behemoth. Evangelion. Hé oui, sur le podium...
Il y a un truc que certains groupes de black ont bien compris (ceux dont on entend encore parler sans exploser de rire du moins) : pour être bon, il faut faire du death. Les Polonais de Behemoth font partie de ceux-ci. Depuis trois albums, ces mecs nous servent un death brutal de très grande classe et cette dernière offrande est une véritable délectation, une pierre angulaire du genre, une oeuvre de potesta absoluta.
En 9 coups, vous êtes hors de l'échiquier, saignant et tremblotant devant ce torrent de barbarie maitrisée à la limite de l'inhumain. Behemoth réussit la jonction entre la pulsion dévastatrice la plus reptilienne et la splendeur divine la plus incommensurable là où d'autres n'atteindraient au mieux que l'ombre flou de l'un des deux pôles.
Il est ainsi intolérable d'écouter un Ov Fire And The Void ou Alas, The Lord Is Upon Me sans ressentir, au delà de l'envie, rien de moins que le besoin de planter ses griffes dans sa cage thoracique et de se déchiqueter en bavant de plaisir. Et aucune autre plage ne vous accordera le répit que vous pourriez espérer, c'est de l'assaut direct, implacable et fulgurant. Une ode à l'essence même du métal, un hurlement de démence à l'épreuve de tout.
Il y a un truc que certains groupes de black ont bien compris (ceux dont on entend encore parler sans exploser de rire du moins) : pour être bon, il faut faire du death. Les Polonais de Behemoth font partie de ceux-ci. Depuis trois albums, ces mecs nous servent un death brutal de très grande classe et cette dernière offrande est une véritable délectation, une pierre angulaire du genre, une oeuvre de potesta absoluta.
En 9 coups, vous êtes hors de l'échiquier, saignant et tremblotant devant ce torrent de barbarie maitrisée à la limite de l'inhumain. Behemoth réussit la jonction entre la pulsion dévastatrice la plus reptilienne et la splendeur divine la plus incommensurable là où d'autres n'atteindraient au mieux que l'ombre flou de l'un des deux pôles.
Il est ainsi intolérable d'écouter un Ov Fire And The Void ou Alas, The Lord Is Upon Me sans ressentir, au delà de l'envie, rien de moins que le besoin de planter ses griffes dans sa cage thoracique et de se déchiqueter en bavant de plaisir. Et aucune autre plage ne vous accordera le répit que vous pourriez espérer, c'est de l'assaut direct, implacable et fulgurant. Une ode à l'essence même du métal, un hurlement de démence à l'épreuve de tout.
Ah on l'avait pas vu venir celle là... Et l'unplugged de Mississauga tu vas le mettre où maintenant ?
RépondreSupprimerSinon : "pour qu'un groupe de black soit bon, il doit faire du death" = plein de lol.