vendredi 28 janvier 2011

Ultimate Universal Top Album : 1993 - 3e partie

  • Danzig : "Thrall : Demonsweatlive"Cover (Thrall: Demonsweatlive:Danzig)
    Il n'est aujourd'hui plus que l'ombre de lui-même, n'empêche qu'en 1993, dans le clip de la version live de Mother avec sa boucle de ceinture qui tue et ses gros muscles, il était au top de sa forme le Glenn. C'est comme ça que je l'ai découvert (même si je connaissais déjà les Misfits, Metallica fanboy oblige), et cet EP reste mon préféré de la discographie du petit monsieur.
  • Death : "Individual Thought Patterns"Cover (Individual Thought Patterns:Death)
    Encore un groupe que j'ai découvert par le biais d'un clip, The Philosopher en l'occurence, qui clôture cet album. A l'époque, je ne me rendais pas encore bien compte du challenge technique et de la virtuosité de cet album, mais je le trouvais quand même différent de tout ce que j'avais entendu jusqu'alors.
  • Depressive Age : "Lying In Wait"Cover (Lying in Wait:Depressive Age)
    Même si je préfère le premier album, celui-ci est un véritable bijou de thrash progressif et mélodique, qui lui aussi se conclut par une putain de bombe : Eternal Twins, avec le meilleur chanteur de death en guest dessus. Le pire, c'est que ledit guest n'a jamais rien fait d'autre que cette chanson.
  • Duff : "Believe In Me"Cover (Believe in Me:Duff McKagan)
    Souvent considéré comme l'élément punk de la bande, le bassiste des Guns propose malgré tout sur son premier album solo un mélange assez proche de ce qu'il faisait avec les Guns, avec certes une approche plus brute et directe. L'album est sympa, même si Duff n'est pas le meilleur chanteur de la terre.
  • Edge Of Sanity : "The Spectral Sorrows"Cover (The Spectral Sorrows:Edge of Sanity)
    Tout simplement mon album de death metal préféré de tout l'univers du monde de la terre ! Loué à la Médiathèque uniquement à cause de sa pochette, cet album a marqué mon adolescence, et aujourd'hui encore, j'ai les poils qui se dressent sur les bras à la seule écoute de l'intro. Le son de gratte est suédois à souhait, mais l'approche limite progressive du groupe, et des morceaux étonnants comme la reprise du Blood Of My Enemies de Manowar et Jesus Cries et son break hallucinant ouskon entend le méchant Jésus se faire crucifier sont juste à tomber par terre. C'est loin d'être le plus connu, mais c'est sans conteste LA référence quand il s'agit de définir le death metal, en ce qui me concerne en tout cas.
  • Fear Factory : "Fear Is The Mindkiller"Cover (Fear Is the Mindkiller:Fear Factory)
    Même si j'ai essayé en mon jeune temps, je n'ai jamais vraiment été fan de techno. Fear Is The Mindkiller est toutefois une exception notable à la règle, puisque l'album est court, et qu'il est à la dance de base ce que le grindcore est à Mireille Mathieu.

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