Je dois avouer une grave lacune cinématographique : je n'ai jamais vu E.T.
Je dois en avouer une autre : je n'avais jamais vu The Transporter, avec Jason Statham. Jusqu'à hier...
Et mordel de berthe, j'étais réellement passé à côté d'un joyau du 7e art. C'est aussi décérébré que cultissime et, là où je suis plutôt fier à l'idée que je ne verrai jamais cette fameuse scène où l'immonde poupée extra-terrestre du Spielberg s'élève dans les cieux avec le vélo de son jeune ami terrien et qui aurait été bien plus fun si un type dans les parages était armé d'un missile sol-air, je dois bien me faire à l'idée qu'il eut été d'une effroyable perte pour ma culture générale et la santé de mon âme que de pas m'être délecté de ces rixes sauvages où Statham apprend la vie à toute une flopée de méchants dans des situations les plus inventives les unes que les autres.
L'une d'entre elles a particulièrement retenu mon attention si je dois faire confiance aux crampes et aux efforts déployés pour me déplier après avoir frôlé la mort, plié en 8 de rire : celle, plus bas, qui doit certainement être un monument dans les milieux gays et passée sur grand écran dans les caves du Spartacus à Liège ou de l'Homo Erectus à Bruxelles tard les vendredis.
Remarquez, à partir de la minute, l'insistance sur les corps luisants enduits d'huile usagée, les étriers des pédales (sic) de vélo n'ayant rien à envier aux boots des travelots et surtout, surtout, ce fougueux baiser sous-marin en finale.
La classe, on vous dit...
Je dois en avouer une autre : je n'avais jamais vu The Transporter, avec Jason Statham. Jusqu'à hier...
Et mordel de berthe, j'étais réellement passé à côté d'un joyau du 7e art. C'est aussi décérébré que cultissime et, là où je suis plutôt fier à l'idée que je ne verrai jamais cette fameuse scène où l'immonde poupée extra-terrestre du Spielberg s'élève dans les cieux avec le vélo de son jeune ami terrien et qui aurait été bien plus fun si un type dans les parages était armé d'un missile sol-air, je dois bien me faire à l'idée qu'il eut été d'une effroyable perte pour ma culture générale et la santé de mon âme que de pas m'être délecté de ces rixes sauvages où Statham apprend la vie à toute une flopée de méchants dans des situations les plus inventives les unes que les autres.
L'une d'entre elles a particulièrement retenu mon attention si je dois faire confiance aux crampes et aux efforts déployés pour me déplier après avoir frôlé la mort, plié en 8 de rire : celle, plus bas, qui doit certainement être un monument dans les milieux gays et passée sur grand écran dans les caves du Spartacus à Liège ou de l'Homo Erectus à Bruxelles tard les vendredis.
Remarquez, à partir de la minute, l'insistance sur les corps luisants enduits d'huile usagée, les étriers des pédales (sic) de vélo n'ayant rien à envier aux boots des travelots et surtout, surtout, ce fougueux baiser sous-marin en finale.
La classe, on vous dit...
Excellent... Je te conseille vivement Shoot'em Up avc Clive Owen qui est un festival du genre, avec une surenchère second degré ultra assumée. Piki me vend aussi Haute Tension avec Statham aussi mais ça j'ai pas vu... Sinon dis moi, tu m'as l'air vachement bien renseigné sur les fleurons gays de notre beau royaume...
RépondreSupprimerHi hi c'est rigolo en effet. Mais euh... si on inspire le contenu des poumons d'un cadavre, c'est pas plutôt du CO2... ?
RépondreSupprimerDécidément il est plus fort que tout le monde ce Jason.
A quand la confrontation Statham / Norris ?
RépondreSupprimerRectif : le cadavre en question est ici un noyé, donc par définition ses poumons sont remplis de flotte.
RépondreSupprimerEt donc Jason est encore plus fort que ce que je pensais, vu qu'il respire de l'eau.