En 1999, j'ai eu dans le Metal Hammer anglais le meilleur sampler que j'aie jamais eu avec un magazine. A l'époque, outre un inédit de Machine Head (une version prémix de From This Day, plusieurs mois avant la sortie de The Burning Red), proposait de découvrir un tout nouveau groupe appelé Slipknot, de redécouvrir Agnostic Front et les Crumbsuckers via des classiques respectifs, et une série d'autres joyeusetés, dont Crackdown, dont le hardcore ressemblait tellement à celui de Biohazard qu'Evan Seinfeld en personne venait pousser sa gueulante dessus. Je n'avais jamais rien entendu d'autre de ce groupe avant l'album qui nous occupe ici, et je ne suis même pas sûr qu'il s'agisse du même groupe. Toujours est il que loin de Biohazard, Crackdown 2011 propose un hardcore certes efficace et old school, mais ultra convenu, voire un peu mollasson. N'est pas Terror qui veut... C'est bien, mais c'est aussi bien que les 8745 autres groupes de hardcore qu'on voit dans les petits festivals de bistrot et de village ou les ninjas affrontent des gros thrasheurs et se font démonter la gueule (selon le même principe que l'affrontement UFC entre un Capoeiriste et un Sumo tourne toujours à l'avantage de celui qui peut briser la colonne vertébrale de l'autre pour qu'il arrête de danser comme une pédale).
EDIT : C'est pas le même Crackdown que celui de mon sampler, ce groupe ci n'existant que depuis 2006 d'après leurs hoodies de touhg guys. Ils sont est-allemands aussi.
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