lundi 2 mai 2011

Neuraxis : Asylon


Il était obligatoire que je me farcisse le dernier bébé de Neuraxis, après avoir vu Rob Milley jouer seul Savior And Destroyer, visant à nous donner une p'tite leçon de gratte.

Une écoute distraite d'Asylon est tout simplement à bannir, tellement l'album est compact et enchaîne les musiques avec violence, rapidité, et technique. Mais jusque là, aucune surprise, car il s'agit justement du domaine de prédilection du groupe. Et, si à la première impression il vous semble que tous les titres ne forment qu'une seule et même entité, il vous faudra un plus vous pencher pour saisir ces riffs monstrueux propres à chacun, qui avec plus de concentration vous paraîtront plus accrocheurs que sur The Thin Line Between, leur précédent album. Comme si vous repreniez votre souffle, Resilience fait un peu office de pause pipi, et nous offre avec ses 2'23", de quoi relâcher notre vessie, totalement sous tension due aux 6 morceaux qui la talonnent. Un répit salvateur qui nous prépare en rien aux trois derniers titres qui nous déchiquettent tel des pitbulls se livrant à un combat à mort, dans un typhon (Ah!! Vous l'aviez jamais lu cette métaphore hein ?)
Neuraxis nous livre encore une fois un album de qualité, qui s'aligne dans la continuité de ce que le groupe a l'habitude de nous offrir sans pour autant faire un copier/coller de ce qu'ils ont déjà pu faire auparavant.

1 commentaire:

  1. un jour je ferai un post que tu n'auras pas besoin de retoucher ^^

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