mercredi 6 juillet 2011

Mon Hellfest 2011. Samedi 19 juin

... ou le post que plus personne n'attendait. Je n'ai plus aucune excuse à fournir pour justifier mon retard. Je commence donc directement, sans préambule, franco, à la seconde par le concert de Red Fang et son stoner qui était parfait pour débuter ma journée. Je suis heureux d'avoir découvert ce groupe sur ce blog peu avant de les voir, car je les aurais surement loupé : "On va voir Red Fang Antoine ?" "Arf ! Tu veux pas plutôt qu'on se boive une bière, assis sur l'herbe tout en matant de la gothique ?"

Je passai ensuite un très bon moment avec Atheist, découvrant au passage le groupe, et son frontman aux allures de Brett Michaels (que je ne surlignerai pas en gras) mais ô combien plus cool et impressionnant.

J'eus de la peine pour Firewind qui malgré le fait qu'il jouait sur la scène principale, captiva un tout petit groupe de personnes. Personnes qui étaient surement présentes pour voir de près le jeu de Gus G.

Je fis la navette entre Cavalera Conspiracy, et Kylesa. Deux groupes que je voulais voir à tout prix. Si le show des frères Cavalera était cool, (surtout Igor et leur deuxième guitariste dont je ne sais plus le nom) mais pas marquant, celui de la bande de Laura Pleasants (dont je n'ai vu que le haut du crâne, et encore) était infiniment plus intéressant. Je pensais que les deux batteries présentes sur scène allaient me casser les oreilles, (mauvais souvenir de Trail Of Dead) et que nenni ! Le sludge fourni était de la même trempe que sur leur CD. Transcendant.

Je passai ensuite voir Anathema, le groupe le moins violent du festival, mais aussi le plus envoûtant. Cerise sur le gâteau le groupe s'exprimait en français pour s'adresser au public. Merci les mecs, je suis une bite en anglais.

Judas Priest, le premier poids lourd de la soirée, nous offrit un show tout feu tout flamme avec bien sur avec un Rob Halford sur son 31, à savoir crâne impeccablement rasé, grosses lunettes de soleil, manteau à clou, et, détail qui tue : la Harley Davidson sur le podium de la scène.

Electric Wizard, m'a totalement conquis avec son putain de son lourd comme... comme... comme un truc super lourd, et leur prestation scénique qui certes ne bougeait pas beaucoup, mais qui diffusait une ambiance malsaine. Mention spéciale au film bizarre qui passait sur la toile derrière le groupe. Je ne sais pas lequel était-ce, mais l'action avait l'air de se passer dans un appartement Parisien où l'on pouvait voir des femmes nues sur des croix en X se faire peloter par un homme qui manifestement se tâtait entre les tuer avant l'acte sexuel, ou l'inverse.


Ozzy Osbourne, deuxième poids lourd de la soirée. Un show bien marrant où j'ai pu voir le prince des ténèbres en pleine forme qui n’arrêtait pas de sauter (si on peut appeler ça un saut) et taper sans arrêt dans ses mains tout en répétant "I can't hear you" 'I can't see you" (ce qui m'a beaucoup fait rire). C'est qu'il est pas tout jeune le pépère. Mais le godfather du Metal n'en reste pas moins redoutable sur scène et c'est sans vergogne qu'il balança de la neige carbonique (ou je ne sais quoi) sur le public.


Derniers concert du festival, Kyuss Lives (énorme d'après mon pote) et Opeth, celui auquel j'ai assisté. Pas grand chose à dire sur eux, si ce n'est ce groupe est génial en cd, excellent sur les albums live, et extraordinaire en vrai.

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