vendredi 10 septembre 2010

Ultimate Universal Top Album : 1992 - 5e partie

  • Nine Inch Nails : "Broken"

    Je l'ai déjà dit : même si j'ai le plus grand respect pour le travail de Trent Reznor, je ne suis pas un fan hardcore de Nine Inch Nails. Ce qui ne m'empêche aucunement d'apprécier cet album, hyper rentre dedans, que j'ai découvert grâce à Beavis & Butthead qui étaient, tout comme moi, impressionnés par le clip de Wish
    .
  • Nirvana : "Incesticide"

    Même s'il ne s'agit que d'une collection de faces B et de reprises, Incesticide
     démontre que Nirvana était autre chose qu'un groupe à la mode. A l'époque, je pense que je préfèrais même cet album à Nevermind. Il est plus imprévisible, plus rentre dedans, plus sale, et la version de Polly est mille fois mieux que l'originale !
  • Noir Désir : "Tostaky"

    Je n'ai découvert le groupe que quelques années plus tard, mais quand c'est arrivé, pour la première fois, un groupe français et francophone me mettait une grosse baffe musicale dans la gueule.
  • Pantera : "Vulgar Display Of Power"

    Tout simplement un des meilleurs albums du monde ! J'ai découvert le groupe avec cet album, et dès les premières secondes, j'ai su que je n'arrêterai jamais de l'écouter. J'en ai des frissons encore aujourd'hui, il est à l'aise dans mon top 5 des meilleurs albums de tous les temps.
  • Rage Against The Machine : "Rage Against The Machine"

    Un soir, à la radio, Pompon annonce un groupe qui mélange le rap et le métal, "un peu à la manière de Body Count", et annonce la sortie de l'album pour le lendemain, avant de balancer Killing In The Name
    . C'était en décembre 1992, et le lendemain, je fonçais chez Caroline, qui se demandait de qui je parlais, pour finir à la FNAC, que j'ai obligé à ouvrir les boîtes fraîchement arrivées pour voir s'il n'était pas dedans. Il y était. Rage Against The Machine n'étaient pas les premiers à mélanger les styles, mais ils étaient les premiers à le faire de manière systématique, et à le faire avec la section rythmique la plus carrée de l'univers, un guitariste génial et innovant, et un frontman engagé à la voix rageuse et aux textes ravageurs ! Tout ce qu'il fallait pour que je tombe dedans à pieds joints. 
  • S.O.D. : "Live At Budokan"

    J'ai découvert ce live avant l'album Speak English Or Die
    , et je le connaissais tellement bien que l'album m'avait un peu déçu, tellement le live est plus rapide, plus puissant, mais aussi plus drôle et provocateur. Une fois encore, un des meilleurs albums live que je connaisse.

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