A la sortie de Supremacy, en 2006, j'ai trouvé ça tellement bof que je me suis dit que finalement, Hatebreed, c'était plus le souvenir d'une époque bénie où je sortais beaucoup, et où je m'amusais comme un petit fou à sauter sur mes potes à l'écoute des hits de Perseverance et Satisfaction Is The Death Of Desire. La sortie du plus que médiocre For The Lions n'a fait que confirmer cette impression, c'est donc avec une joie non dissimulée que ce dernier album m'a surpris en déchirant tout sur son passage !!! On ne demande pas grand chose à un groupe comme Hatebreed, il faut juste que quand on écoute, on ait envie de taper les autres gens. Et avec cet album, c'est exactement ce qu'on a : un concentré d'hymnes à la violence. C'est certes facile, bête et méchant, mais c'est tellement bon ! Le défouloir par excellence. Et malgré tout, ils continuent à évoluer, s'éloignant un peu plus encore du hardcore pur et dur pour s'aventurer sur un terrain plus metal avec des riffs plus complexes (Become The Fuse), du chant plus ou moins clair (In Ashes They Shall Reap) et des solis à dose homéopathique (Between Hell And A Heartbeat). Si un jour vous devez prendre le tram ou le métro à Bruxelles pendant l'heure de pointe, tapez cet album dans votre mp3, et vous n'aurez aucun problème à vous faire une place, c'est garanti !
Hého faut arrêter de boire du Fanta light, hein... Hatebreed devant Hacride...
RépondreSupprimeret si y avait eu un gojira cette année, il aurait aussi été derrière, j'assume
RépondreSupprimer