Samael, j'adore. Je vénère même.
Ces Suisses francophones ont réussi depuis l'inénarrable Passage (1996) à se dédouaner de leur origines black pour un délire symphonico-industriel à faire peur à Wagner sans jamais tomber dans les travers des clowns de kermesse scandinave dont ils auraient pu partager la destinée sans cette touche unique qui les caractérise.
La seule (et énorme) faute de parcours est sans nul doute l'ignoble Above de 2009, projet parallèle de Xy (compositeur principal) finalement sorti sous le label Samael : une sorte de retour aux origines complètement loupé et carrément inutile.
De sang a coulé dans le Styx depuis puisque Samael s'apprête à nous offrir le 19 novembre prochain un EP totalement dispensable s'il ne contenait pas un nouveau titre sobrement dénommé Antigod, qui s'écoute ici et qui redonne sacrément espoir en vue du prochain album au printemps 2011.
Ces Suisses francophones ont réussi depuis l'inénarrable Passage (1996) à se dédouaner de leur origines black pour un délire symphonico-industriel à faire peur à Wagner sans jamais tomber dans les travers des clowns de kermesse scandinave dont ils auraient pu partager la destinée sans cette touche unique qui les caractérise.
La seule (et énorme) faute de parcours est sans nul doute l'ignoble Above de 2009, projet parallèle de Xy (compositeur principal) finalement sorti sous le label Samael : une sorte de retour aux origines complètement loupé et carrément inutile.
De sang a coulé dans le Styx depuis puisque Samael s'apprête à nous offrir le 19 novembre prochain un EP totalement dispensable s'il ne contenait pas un nouveau titre sobrement dénommé Antigod, qui s'écoute ici et qui redonne sacrément espoir en vue du prochain album au printemps 2011.
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