Le problème de Phil Labonte est le même que ce celui de Matt Heafy, chanteur de Trivium : autant ils peuvent être brillants pour pondre des lignes vocales mélodiques à couper le souffle, autant ils sont totalement incapables de les reproduire sur scène. Quand on sait ça, difficile d'apprécier les albums qu'on devine tout bidonnés. Et dans le cas du dernier All That Remains, c'est d'autant plus flagrant qu'on entend l'auto-tune à tous les étages dès qu'il a le malheur d'arrêter de beugler. Quant à la prestation live, même quand il s'agit d'un des deux seuls morceaux réussis de l'album, ben c'est euh...
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