Allez hop ! J'inaugure le concept de chronique automatique, que je rédige en même temps que j'écoute l'album pour la toutoute première fois. Comme le commun des mortels trentenaires, je ne connaissais de Urge Overkill que leur sympathique reprise du Girl, You'll Be A Woman Soon de Neil Diamond. C'est donc d'une oreille vierge de tout préjugé que j'écoute cet album. Ça commence très fort avec un morceau que je classerai entre du Kiss old school, QOTSA et les Foo Fighters ! Et l'album continue avec un rock catchy, efficace, énergique mais posé, un genre que 95% des groupes s'évertueraient à rendre mielleux et casse couilles, mais que le groupe parvient à garder intéressant de bout en bout. L'équilibre entre modernité et rock old school fonctionne super bien, et je me rends compte que je suis en train d'écouter un vrai putain de bon album de vrai rock comme on en fait plus ! En un demi-album (j'arrive à la 7), Urge Overkill enterre tous les groupes de hipsters en The... qui s'évertuent à massacrer un genre auxquels ils essayent de rendre hommage sans rien y connaître. Urge Overkill ne s'embarrasse d'aucun artifice, et rocke ! C'est simple, catchy à mort, et super efficace, j'adore ! Forcément, j'ignore si le niveau est aussi élevé sur les albums précédents du groupe, mais Wikipedia m'apprend que Rock & Roll Submarine est le premier album du groupe depuis 1995 ! Ils ont pris le temps, et ils ont bien fait apparemment ! L'album se termine sur la même bonne impression qu'au début, donc je le réécouterai !
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