En général, les groupes qui pratiquent du post-machin, ça me casse les couilles. Que ce soit post-rock, post-metal, post-grunge, post-mon cul, c'est un préfixe fourre tout et autant dénué de sens que le suffixe -core (et encore, je n'aborde pas l'épineux sujet des groupes de postcore). Tout ça pour dire que même si la bio de Junius déborde de post-machin, ben j'aime quand même bien en fait. Est-ce la beauté du clip, l'épicisme des arrangements ou le chant qui rappelle furieusement le meilleur de Chino Moreno, j'en sais rien, mais j'accroche bien au boquet. Pas sûr que je tienne tout un album par contre...
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