Souvent, les groupes à chanteuse, c'est pas ma came. Pas que je suis macho hein, mais en général, soit c'est des divas gothiques de merde, soit des gonzesses qui fondent leur carrière sur leur image plutôt que sur leur voix (genre Maria Brink), ou alors c'est des gonzesses qui veulent jouer les dures et qui gueulent avec une voix de crécelle insupportable (Arch Enemy en tête). Si j'avais la pourtant fluette chanteuse de Landmine Marathon en face de moi, je me garderai bien de lui faire ce genre de commentaires, parce qu'elle a beau avoir l'air de peser 38 kilos, ABL comprises, si elle cogne comme elle beugle, je risque fort de me faire démonter la gueule. C'est que ça envoie chez Landmine Marathon ! Un gros métal qui tache, fortement inspiré par le grind, qui atomise tout sur son passage. Ce qui est bien, c'est qu'une fois que l'album a démarré, on se fout complètement de savoir si c'est un mec, une gonzesse ou un labarador à rayures qui beugle : ça déchire, point barre ! Et dans ce genre de musique, c'est largement suffisant !
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