J'ai toujours défendu les groupes qui sortaient des sentiers battus, qui frappaient là où on ne les attendait pas, qui prenaient leurs "fans" à contrepied et faisaient ce qu'ils avaient envie de faire, pas ce que leur public ou les médias ou les chroniqueurs d'album voulaient qu'ils fassent. C'est
Metallica qui m'a appris à apprécier cet état d'esprit, et en 2011,
Morbid Angel a porté le concept à un niveau extrême, trop extrême pour de nombreux fans. Je suis tombé sur cette
chronique d'album que j'ai adoré, et qui explique de manière bien plus efficace que moi le concept ! Elle est
ici.
Pas d'accord. Le type a trouvé une chouette manière de se justifier en faisant référence à une thématique intéressante (quoique discutable), mais par la suite il n'explique jamais pourquoi il trouve que l'album est "génial" -- il se focalise entièrement sur l'attitude de ceux qui le trouvent loin d'être génial. Donc finalement, il ne fait que se ranger dans la polémique.
RépondreSupprimerEt BTW, j'ai plutôt apprécié Illud...